Ahmed Sylla est un humoriste et acteur français. Il a vu le jour le 10 mars 1990 à Nantes. L’humoriste a commencé sa carrière à la télévision en 2010 dans l’émission Le Samba Show. Par la suite, il a réalisé une performance en restant plusieurs semaines en lice dans le programme de France 2, On ne demande qu’à en rire. On le retrouve aussi à l’origine de plusieurs one-man-show, dont le très récent Origami. Depuis, l’acteur a joué dans de nombreux films et séries télévisées. Notamment Comme un prince en 2023, Notre tout petit petit mariage ou encore La Guerre des Lulus en 2022. Ahmed Sylla a refait des apparitions télévisées en participant à des émissions humoristiques comme LOL : Qui rit, sort !
Toutefois, sa carrière prolifique ne l’a pas éloigné des sujets plus sérieux, bien au contraire. Ainsi, ce 20 avril, Ahmed Sylla a tenu à revenir sur ses propos tenus auprès du média Purebreak sur le racisme. Après y avoir affirmé que le racisme n’existait pas en France, il a fait machine arrière. Dans cette veine, il a déclaré sur X :
Je tournerai 7 fois ma langue dans ma bouche … https://t.co/amWajFtFgJ pic.twitter.com/4kYFxey6RG
— Ahmed Sylla (@Ahmed_Sylla) April 20, 2024
Conscient de l’impact des réseaux sociaux dont il se sert pour s’exprimer aussi, Ahmed Sylla a également fait une déclaration à ce sujet au micro de RTL. On vous fait le point.
Ahmed Sylla alerte sur les dérives des réseaux sociaux
L’avènement des réseaux sociaux a considérablement changé la donne en matière d’informations. En effet, ils ont permis de les relayer beaucoup plus rapidement et parfois de rétablir la vérité là où le mensonge était de mise. En revanche, en ce qui concerne leur impact sur les jeunes, la réalité reste tout autre. C’est ce qu’Ahmed Sylla a souligné dans sa prise de parole :
« Ca me fait mal de le dire. Mais, on ne se rend pas compte à quel point la jeunesse souffre aujourd’hui. Ils sont biberonnés aux réseaux sociaux […] a des choses qui sont fausses. […] Leur santé mentale en prend un coup. »
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Effectivement, le comédien en dénonce les dérives. Il s’avère qu’entre l’absence de mentions sur les photos retouchées, les placements de produits douteux ou l’exposition d’une vie idéale fictive, les jeunes peuvent s’y perdre. Et surtout rentrer dans une comparaison malsaine avec une réalité inexistante, amenant à des complexes certains.
