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Jean-Jacques Goldman, absent de la scène depuis 20 ans, vit très bien de sa fortune. Sans produire de nouveaux albums et sans faire des tournées, cette légende de la chanson française arrive toujours à gagner des millions chaque année. Ce jeudi 7 septembre, Ciné Télé Revue a révélé d’où lui vient sa fortune. On fait le point.
Jean-Jacques Goldman, 20 ans de retraite
Quand est-ce que vous avez vu Jean-Jacques Goldman pour la dernière fois ? Sans doute pendant le confinement où il s’est filmé en reprenant son tube Il changeait la vie. En effet, le chanteur de 71 ans a fait une brève réapparition, pour le plaisir de ses fans, après plusieurs années de silence.
Cela fait maintenant 20 ans que l’auteur de Pas toi a pris sa retraite. En effet, depuis le début des années 2000, il s’est éloigné de tout « cirque médiatique », pour reprendre ses mots. Cela étant, cette brève réapparition a ravivé l’espoir d’un retour sur la scène du chanteur.
Jean-Jacques Goldman a ce qu’il faut pour générer d’importants revenus alors qu’il ne se produit plus sur scène. Ainsi, l’interprète d’Envole-moi ne semble pas en manque d’argent. C’est du moins ce que laisse entendre un article de Ciné Télé Revue ce jeudi 7 septembre.
Le chanteur gagne toujours des millions
Nos confrères ont parlé du dernier livre d’Ivan Jablonka dans leur article. Il s’agit d’une biographie de la star intitulée Goldman. Le livre est sorti le 18 du mois d’août dernier.
Ce même article évoque également la fortune de Jean-Jacques Goldman sans préciser les chiffres qui « sont secrets ». Selon nos confrères, ces chiffres rivalisent avec ceux des grands patrons.
« Plusieurs sources évoquent une rente de plus de deux millions d’euros de royalties et des revenus colossaux tirés d’un patrimoine immobilier », indique le magazine.
Combien ces propriétés lui rapportent-elles ? Difficile de l’évaluer. Toujours est-il que la presse a déjà, par le passé, fait état des millions que la Sacem verse à l’artiste chaque année. Millions que lui rapportent ces tubes.
Notons aussi que Jean-Jacques Goldman a vendu 15 à 20 millions d’albums au cours de sa carrière.
Il possède un hôtel particulier à Paris
Toujours simple, même avec autant de sommes, on se demande ce que le père de six enfants fait de son argent. Loin d’être un flambeur, Jean-Jacques Goldman ne possède ni voitures de sport ni montres de luxe, encore moins de villas démesurées.
Celui qui a composé des chansons pour Céline Dion et Johnny Hallyday mène en revanche une vie comme les gens ordinaires. Cela dit, selon Le Point, le septuagénaire possède un hôtel particulier situé dans le VIe arrondissement de Paris.
C’est dans cet hôtel que l’interprète de Quand la musique est bonne logerait sa famille ainsi que ses proches. Il y loge même généreusement son percussionniste pour le dépanner. Cependant, Jean-Jacques Goldman, en dépit de sa réussite financière, préfère mener une vie discrète.
En outre, rappelons tout de même qu’en 2023, il a été élu pour la douzième fois la personnalité préférée des Français.
Les enfants de Jean-Jacques Goldman
Jean-Jacques Goldman s’est retiré de la scène en 2004. Il a déménagé à Londres, en 2016, pour que ses filles cadettes, Maya, Kimi et Rose, puissent vivre dans l’anonymat. Cette volonté de ne pas attirer l’attention, le père de Caroline, Michael et Nina l’aurait héritée de son père.
Ce dernier, qui est un immigré juif et un ancien mineur, aurait répété à Jean-Jacques de ne « pas trop se montrer ». Cette modestie, l’auteur-compositeur-interprète entend bien la transmettre à ses enfants. D’ailleurs, deux de ses enfants, les aînés, s’illustrent dans leur domaine respectif cette année.
En effet, Caroline Goldman, psychologue pour enfants, a parlé des limites de l’éducation positive dans de nombreux médias. Michael Goldman, quant à lui, a joué un rôle important dans la dixième saison de la Star Academy sur TF1. Ce dernier est, notons-le, cofondateur et président du label My Major Company.
Le dérapage de Jean-Jacques Goldman
Dans son livre, Ivan Jablonka a évoqué « les extraits des articles les plus désobligeants » publiés sur Jean-Jacques Goldman. Lassé d’être pris pour cible, ce dernier a décidé de publier ces extraits en décembre 1985 dans Libération.
« Merci d’avoir jugé par vous-même », signait Jean-Jacques Goldman.
C’est ainsi que l’auteur a manifesté son détachement vis-à-vis de ses détracteurs.
« Convaincus que le succès est incompatible avec le talent, ces journalistes sont encore incompétents, mais encore lâches, car “ils ne tapent sur toi que quand tu es fragile” », pointait l’artiste à l’époque.
Le chanteur, à bout, a même fait un léger dérapage en disant de ces journalistes qu’ils sont « surement séropositifs ».
