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En 1987, Nathalie Marquay portait l’écharpe de Miss France. Mais elle a connu son grand amour en 2001, en croisant la route du présentateur Jean-Pierre Pernaut. Très vite, les deux tourtereaux ont donné naissance à une fille, Lou (2002) et un fils Tom (2003). D’ailleurs, ils ont fini par se dire oui en 2007, en célébrant leurs noces en grandes pompes. Aussi, depuis que le journaliste star du JT de 13 h a perdu la vie en mars 2022, Nathalie Marquay-Pernaut semble dévastée par le deuil. À travers cette épreuve, elle peut néanmoins compter sur le soutien de ses enfants. Or, en apprenant la mort de Geneviève de Fontenay, qui a participé à son sacre en tant que Miss France il y a près de 35 ans, elle a eu beaucoup de peine. Aussi, elle a quelques mots pour rendre hommage à la célèbre dame au chapeau… On fait le point tout de suite !
Une triste nouvelle pour Nathalie Marquay-Pernaut
Née en 1967, dans le Nord, la jeune fille a rapidement participé à des concours de beauté. D’abord à l’échelle locale, en remportant le titre de Miss Alsace en 1986. Mais dès l’année suivante, elle a connu une grande notoriété en portant l’écharpe de Miss France. Ce statut de reine de beauté lui a ensuite ouvert de nombreuses portes. Ainsi, dans les années 1990, Nathalie Marquay-Pernaut a ainsi fait plusieurs apparitions dans des séries comme Les Filles d’à côté ou encore Salut Les Musclés. Mais les souvenirs qu’elle garde du temps où elle avait le statut de miss France restent encore vivaces dans sa mémoire. Et des années après son sacre, elle restait très attachée à Geneviève de Fontenay, qui présidait le comité à cette époque.
En tant qu’ancienne reine de beauté, Nathalie Marquay-Pernaut a fait partie des premières personnes à apprendre le décès de la dame au chapeau. Cette sombre annonce l’a même réveillé dans son sommeil.
« Mon téléphone a sonné toute la nuit. Quand j’ai vu tous les messages, j’étais anéantie… J’ai été très surprise, je ne réalise toujours pas. », a commencé la mère de Lou et Tom.
Avec le temps, cette figure du concours Miss France, avec ses tailleurs impeccables et ses couvre-chefs variés, avait pu devenir presque légendaire. Aussi, sa disparition a d’abord semblé absurde à la veuve de Jean-Pierre Pernaut.
« Je pensais qu’elle était immortelle, j’ai eu du mal à m’imaginer qu’elle ne soit plus là et c’est très triste pour la France. », a continué Nathalie Pernaut.
Rappelons que Geneviève de Fontenay a conservé des relations très complices avec la Miss France 1987. Cette dernière la considérait d’ailleurs comme une « deuxième maman. »
Geneviève de Fontenay rejoint l’au-delà : les confidences de Nathalie Marquay-Pernaut
En apprenant que celle qui a vu ses débuts avait la vie, la reine de beauté a ressenti un véritable choc. Cela dit, cette mère de famille à tout de suite trouver quelques bonnes paroles. Et ce, afin de saluer la mémoire de la dame au chapeau.
« J’espère que dans sa prochaine vie qu’elle vivra là-haut, elle sera heureuse et bien entourée des gens qu’elle aime. »
Après tout, depuis plus d’un an, Nathalie Marquay-Pernaut affronte un autre deuil. Son mari a rendu son dernier souffle en mars 2022. Ce qui l’a conduit à réfléchir davantage à l’au-delà, tout en apprenant à gérer le manque et le chagrin. Selon la veuve, Geneviève de Fontenay a quitté le monde des vivants, et pourra revoir le défunt journaliste.
« Elle va revoir mon Jean-Pierre et tous les gens qu’elle a aimés, son fils qu’elle a perdu, son mari qu’elle aimait tant… »
Bien placée pour comprendre la douleur de la famille, Nathalie Marquay-Pernaut a aussi pris le temps d’adresser ses plus sincères pensées aux proches de la dame au chapeau.
« C’est toujours terrible d’apprendre ces nouvelles, et je pense beaucoup à ses petits-enfants et à Xavier… », a expliqué la miss France 1987.
Pour l’heure, on ne sait pas encore quand auront lieu les funérailles de Geneviève de Fontenay. En revanche, si l’on en croit les informations relayées par TF1 et LCI, elle devrait reposer dans un caveau familial. Non loin de Paris (à Ivry-sur-Seine). Pour rappel, son époux, Louis Poirot (mort en 1981) et son fils Ludovic (décédé en 1984) y sont déjà enterrés.
