Derrière cette image de femme fatale, Adriana Karembeu reste une femme brillante. La mannequin internationale s’avère connue pour ses défilés pour les plus grands couturiers, à l’âge d’or des supermodels, dans les années 90. Par la suite, son couple avec Christian Karembeu fera la une de la presse et fascinera les français. Originaire de Tchécoslovaquie, vous l’aurez compris, elle a donc grandi en plein bloc communiste. Alors qu’elle suivait ses études de médecine, elle a été repérée par hasard dans la rue.
C’est le grand changement de sa vie. On lui propose de quitter sa vie, pour tenter sa chance comme mannequin à Paris. Autant dire que pour la jeune Adriana Karembeu, il s’agissait d’un choix radical ! Car, elle a expliqué qu’à l’époque, elle ne parlait ni anglais et encore moins le français. Ce qui reste difficile à croire au vu de son aisance dans la langue de Molière aujourd’hui. Toutefois, elle a accepté ce nouveau destin pour s’éloigner de celui qui aura été son bourreau. On vous explique !
Adriana Karembeu revient sur sa relation avec son père
Ce 4 mai, Adriana Karembeu se trouvait au micro de 50min Inside en compagnie d’Isabelle Ithurburu. En pleine promotion de son autobiographie, la maman de la petite Nina a souhaité coucher son passé par écrit. En son sein, elle revient sur son enfance en Tchécoslovaquie. Et celle-ci a été très compliquée. En effet, Adriana Karembeu a indiqué avoir été battue par son père à partir de l’âge de 6 ans. Dans son esprit d’enfant, elle indique avoir pensé :
« Je le mérite, c’est normal. »
Ainsi, sa réflexion s’articulait de la manière suivante : « si ça vient de mon père qui doit m’aimer, c’est que le problème vient de moi ». De ce fait, la jeune fille n’a eu de cesse de se montrer toujours plus parfaite sans jamais réussir à le contenter. Une confidence bouleversante, que la belle a réussi à dissimuler derrière un visage d’ange et une carrière hors normes. Aussi, Adriana Karembeu n’a jamais pu pardonner à son père. De même, cela reste la raison pour laquelle elle est devenue maman sur le tard. De peur de reproduire le même schéma.
