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À 74 ans, ce comédien de renom peut se vanter d’avoir fait rayonner la France à l’international. Passer sans complexe de la comédie française au drame adulé par la critique au niveau planétaire, Jean Reno a une très belle filmographie. Que vous ayez envie de rire, de frisson ou d’émotion, l’acteur a forcément campé au moins un rôle qui saura vous intéresser. Pour vous aider à faire votre choix, Il était une pub revient sur cinq films connus ou méconnus, tirés de sa carrière unique sur le grand écran…
Léon – 1994
Cette histoire suit le destin tragique d’un tueur professionnel, qui décide de recueillir une jeune orpheline. Original, mais toujours froid et taiseux, le dangereux personnage interprété par Jean Reno finit par être touché par le triste sort de sa petite voisine (Natalie Portman). Réalisé par Luc Besson, ce long métrage, à mi-chemin entre le drame et le film d’action, reste un classique à voir absolument.
Jean Reno en pilote, dans Mission impossible – 1996
Avec plusieurs récompenses en poche, notamment pour Le Grand Bleu, puis Léon, l’acteur a eu de belles opportunités aux États-Unis. Ainsi, dans ce film d’espionnage sanglant, Jean Reno prête ses traits à l’un des personnages principaux. On le retrouve ainsi casque sur la tête, aux commandes d’un hélicoptère. En tant le rôle de l’espion Franz Krieger, le comédien donne la réplique à plusieurs stars comme :
- Tom Cruise
- Emmanuelle Béart
- Kristin Scott Thomas
À la réalisation on retrouve Brian De Palma, célèbre pour plusieurs films, comme Scarface ou encore Les Incorruptibles.
Molok Edramareck, dans Un Amour de sorcière – 1997
Vous le savez, Jean Reno sait jouer les monsieurs tout le monde comme les truands menaçants. Dans cette comédie romantique et fantastique, il incarne carrément LE grand méchant, diabolique. Et il partage l’affiche avec deux magnifiques actrices : Vanessa Paradis et Jeanne Moreau. Aussi, dans cette intrigue inédite, on suit le destin d’une jeune sorcière, qui doit trouver un parrain pour son jeune fils. Elle projette ainsi de lui jeter un sortilège, dans le cadre d’un rituel magique de séduction. Alors elle finit par jeter son dévolu sur un génie de l’électronique originaire de New York et de passage en France.
Mais à travers sa quête, la belle doit faire face à un ennemi de taille : son oncle Molok Edramareck, bien décidé à s’emparer de l’enfant pour l’initier aux forces du mal. Dans ce film familial, Jean Reno s’avère parfait en démon machiavélique et cruel.
Jean Reno dans Tais-toi ! – 2002
Cette comédie, signée Francis Veber, reste l’option idéale si vous avez besoin de vous changer les idées. Ainsi, dès la première scène, on fait la connaissance de Quentin (Gérard Depardieu), un délinquant simplet, mais un brin lourd. Très vite, il se prend d’affection pour l’un de ses codétenus, Ruby de Puteaux, une brute épaisse (Jean Reno) qui cherche à venger le meurtre de sa maîtresse. Les deux prisonniers vont finir par s’évader. Mais leurs ennuis ne font que commencer, et leur amitié paraît de plus en plus pesante. Ici, comme dans La Chèvre, du même réalisateur, les scènes improbables s’enchaînent, porté par un binôme mal assorti mais toujours efficace. En clair, le fameux tandem entre le benêt et le gros dur.
Le commissaire de Da Vinci Code – 2006
Adapté du bestseller de Dan Brown, ce thriller nous entraîne sûr dans une enquête mystérieuse, entre symbolisme et sociétés secrètes. Tout commence lorsqu’un cryptologue (Tom Hanks) accepte de venir en aide à Sophie Neveu (Audrey Tautou), après le décès de son grand-père dans des circonstances troubles. Mais tout au long de ses recherches, le binôme devra cependant composer avec le commissaire Bezu Fache. Et ce personnage soupçonneux et pugnace, est bien sûr incarné par Jean Reno.
