Depuis 2016, ceux qui regardent M6 ont découvert Mariés au premier regard. Dans cette émission, plusieurs célibataires tentent de trouver l’amour. Petite particularité : les couples se rencontrent le jour même des noces. Dans la saison 6, Bruno avait épousé Alicia. Et Jennifer avait dit oui à Eddy. Mais désormais, leurs idylles ont pris fin. Dorénavant, Jennifer coule des jours heureux avec Bruno. Un coup de théâtre que les experts du programme n’avaient sans doute pas vu venir. Ces derniers jours, la belle blonde venue du nord a accepté d’en dire plus sur l’une de ses cicatrices. On fait le point tout de suite !
Jennifer face à la curiosité des abonnés
De nos jours, celles et ceux qui passent à la télévision ne retournent pas forcément à l’anonymat par la suite. En effet, après une émission de téléréalité ou un jeu télévisé, les candidats ont la possibilité de donner de leurs nouvelles, via les réseaux sociaux. Ainsi, Jennifer échange toujours avec le public. Depuis qu’elle a quitté Mariés au premier regard, son union avec Eddy n’a pas duré. Et, depuis juin 2023, elle s’affiche régulièrement aux côtés de Bruno. Lui-même étant récemment séparé d’Alicia, rencontrée dans le même programme.
À l’heure où nous écrivons ces lignes, la jeune maman compte plus de 215 000 abonnés. Et elle n’hésite pas à discuter avec eux, à travers des sessions de questions réponses. Dernièrement, Jennifer Larivière a reçu plusieurs questions, concernant une trace sur son corps, visible sur certaines de ses photos.
« C’est quoi la cicatrice sur ton ventre ? Mais elle est vraiment discrète. », écrit une internaute.
Sans se vexer, la blonde n’a pas hésité à répondre. Elle en a même profité pour évoquer une cause qui lui tient à cœur.
« J’en avais parlé une fois quand je vous avais parlé de l’association pour laquelle j’avais fait la Marche des champions. »
L’opération que Jennifer a subi
En effet, dans sa jeunesse, la petite amie de Bruno a eu quelques problèmes de santé. Jusqu’ici, elle avait préféré éviter le sujet, car elle ne voulait pas susciter la compassion des internautes. Sur son compte Instagram, Jennifer préfère généralement se concentrer sur des sujets positifs.
« Je ne me suis pas attardée là-dessus plus que ça car je ne suis pas ici pour me faire plaindre. On a tous des vécus et on entend assez de mauvaises choses, et moi ici, c’est good vibes. »
Mais cette fois-ci, elle a décidé de donner plus de détails, pour expliquer l’origine de la fameuse de la fameuse cicatrice. Tout remonte à son enfance.
« À l’âge de 6 ans, j’ai été très malade. »
À l’époque, les soignants ont eu un peu de mal à faire le diagnostic. Mais au bout d’un certain temps, ses parents ont appris qu’elle souffrait d’une maladie du sang. En clair, la fillette n’avait pas plus assez de globules rouges.
« Après des semaines à chercher, à parcourir les hôpitaux, ils ont découvert que je faisais une anémie hémolytique. »
Heureusement, Jennifer a pu guérir. Et ce, grâce à une lourde intervention chirurgicale.
« On m’a opérée d’urgence de la rate et de la vésicule biliaire. »
Cette opération lui a laissé une petite cicatrice. Plus jeune, la blonde avait des difficultés à assumer cette particularité. Mais avec le temps, elle a fini par accepter que cette trace faisant partie intégrante de son identité.
« J’ai été longtemps complexée par cette cicatrice. Et après tout, elle fait partie de moi, et comme mon fils me dit : je suis une vraie guerrière comme ça ! »
Elle a donc profité de cette petite explication pour rassurer sa communauté. Et inciter ses followers à prendre confiance en eux, quel que soit leur physique.
« Alors ne soyez pas complexées, car j’ai pu échanger avec certaines d’entre vous ! Vous êtes belles comme vous êtes et vous êtes des guerrières. »Jennifer, Gabriel, et Bruno – Crédits Photos : Capture Instagram
D’ailleurs, cette cicatrice n’a pas empêché Jennifer de trouver l’amour. Ce dimanche 1ᵉʳ octobre, elle passait la journée avec son amoureux, Bruno, et son fils, Gabriel, au Parc Astérix. À présent, il semble que les deux tourtereaux forment une vraie petite famille.
Après des études à Sciences Po Toulouse, j’ai travaillé quelques années sur les politiques du numérique. Mais depuis 2022, j’interviens en tant que rédactrice en chef d’Il était une pub. Avec une seule priorité : l’exactitude et la transparence.
