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Il y a des moments dans la vie qui change tout. Pour Florent Pagny, ce moment est survenu lorsqu’il a rencontré une voyante. Cette femme lui a fait des prédictions qui ont eu un impact incroyable sur sa vie. Dans cet article, nous allons explorer ces prédictions et leurs influences sur la carrière et la vie personnelle de l’artiste.
Une rencontre fortuite
Pagny a connu une enfance difficile en raison de problèmes financiers. Il partage également les prophéties d’une cartomancienne bourguignonne nommée Berthe, avec qui sa mère Odile Pagny était amie. En plus de préparer des omelettes aux lards délicieux, Berthe offrira à Florent Pagny, alors jeune, une lecture de cartes qui aura un impact indélébile sur sa vie.
« C’est ainsi que j’ai su précisément comment ça allait se passer pour moi à Paris », assure le futur artiste, qui se fera « massacrer » lors d’un évènement très mondain.
Berthe croit en la capacité du jeune homme à devenir un chanteur accompli. Et ce malgré les épreuves qui se présentent à lui. Elle est convaincue qu’il réussira à réaliser son souhait. Elle voit même en lui la force de surmonter les obstacles les plus difficiles. Cependant, le père d’Ael et Inca, qui s’est récemment installé en Patagonie, a été averti de certains risques potentiels.
La cartomancienne, qu’il considère comme son « ange gardien », voit en effet un accident dans lequel un proche du chanteur (qui avait refusé de porter le cercueil de Johnny Hallyday à la Madeleine en 2017), perd la vie.
« Mais tu peux l’éviter ! », lui assure-t-elle.
Comment ?
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En faisant la promesse de ne jamais participer à une course. Elle évoque un véhicule qui ne peut être considéré ni comme une moto ni comme une voiture.
« Toi tu t’en sors, mais lui, il meurt. »
Des paroles qui ont conditionné la vie de Florent Pagny :
« Je n’ai jamais fait la course. Surtout pas en Patagonie, où on utilise beaucoup le quad. Si quelqu’un commence à vouloir rivaliser de vitesse, je le calme direct et réclame toujours 30 mètres entre deux quads. C’est la règle. »
Cependant, ces déclarations doivent être examinées avec prudence et un esprit critique.
De douloureux souvenirs d’enfance de Florent Pagny
Parmi les souvenirs de l’artiste qui a été durement hué lors d’un événement très mondain, il y a ceux qui concernent les finances de son foyer.
« L’argent est pour mes parents un souci récurrent. Ma petite sœur et moi n’étions d’ailleurs pas vraiment prévus au programme… Deux enfants, ça suffit bien quand on n’a pas trop les moyens. Malgré tout, nous avons été tendrement accueillis », raconte l’interprète de « savoir aimer »
Bien qu’Odile et Jean Pagny n’abordent pas ouvertement le sujet, leur enfant comprend rapidement la situation financière de la famille. L’enfant reconnaît qu’il était conscient de la situation, bien que ce ne soit pas la misère. Le manque d’argent a laissé une empreinte indélébile dans sa mémoire. Et les sentiments associés refont surface de temps en temps.
Récemment, la simple vue d’un cassoulet a replongé Florent Pagny dans le passé. Lorsqu’il achetait une boîte de conserve à l’épicerie pour la consommer seul, il compensait la frustration de ne jamais avoir assez à manger à table.
En raison des difficultés financières de la famille, le jeune Florent Pagny a subi une punition sévère lors de vacances à Crozon. Après avoir trouvé une pièce de cinq francs et un billet de 10 francs, qu’il considérait comme de la « bonne fortune », sa mère Odile a confisqué l’argent de poche de son fils.
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Bien que Florent ait résisté à la décision de sa mère en répétant inlassablement qu’il voulait récupérer son argent. Il a dû se résoudre à la perte de ces précieuses pièces.
« Si bien qu’à la fin, à bout de nerfs, mon père m’a mis la torgnole. Puis m’a rendu mes sous », écrit l’artiste.
Florent Pagny avait été décrit comme un « chanteur fini » à sa future épouse Azucena.
« Je ne pouvais pas savoir que mes parents étaient si rincés ce jour-là, que ces 15 francs tombés du ciel allaient les soulager un peu. Ils n’ont pas voulu le dire. J’étais trop petit pour comprendre. Eux trop grand pour m’expliquer. »
Cependant, le père d’Inca et Ael, devant qui Vianney avait subi un échec, l’assure :
« La bonne humeur était toujours au menu à la table familiale. »