Amandine Pellissard : « Une reconversion rentable » malgré les demandes « folles » de certains utilisateurs

Depuis quelques mois, Amandine Pellissard ne passe plus sur TF1. Avec son conjoint, la mère de famille a choisi une autre voie.

© Crédits photos : Getty Images

Afficher Masquer les titres

Voilà un changement de cap qui a de quoi étonner ! En effet, à 36 ans, cette jeune maman a connu une certaine notoriété, suite à son passage dans Familles Nombreuses : la vie en XXL. Mais depuis quelques semaines, Amandine et Alexandre Pellissard font surtout parler d’eux en raison de leur nouvelle carrière. En effet, le couple gagne désormais sa vie en commercialisant des images et des vidéos coquines. Un revirement à 180 degrés, que les deux parents assument parfaitement. Pourtant, cette nouvelle vie implique tout même certains désagréments… Et cette nouvelle activité ne signifie que l’infidélité soit à l’ordre du jour !

Amandine Pellissard : de TF1 aux plateformes pour adultes

Cette mère de famille a eu l’occasion de devenir célèbre en montrant son quotidien avec 8 enfants à la maison. Mais à présent, son compagnon et elle ont radicalement changé de vie. Ils font ainsi commerce de contenus et vidéos X, qu’ils proposent en ligne à ceux qui souhaitent payer pour observer leur vie intime. Mais selon Amandine Pellissard, d’autres projets plus ambitieux restent à venir.

« Nous avons fait notre premier tournage professionnel qui a été diffusé aujourd’hui sur l’un des plus gros sites pornographiques en France. Notre premier tournage X pour un site pornographique français. C’est notre métier, c’est un métier qui est répertorié dans les cas du travail, qui est imposable. »

Dans TPMP, Amandine Pellissard a répété qu’elle ne regrettait pas le choix qu’elle a fait, en accord avec le père de ses enfants.

« On a été payés bien ou pas, ça nous regarde, on a reçu un cachet. » Même si le couple doit faire face à des échanges pour le moins saugrenus avec leur clientèle.  » Il y a peu de fous, de pervers. Même moi, ça m’a surpris. Il y a vraiment de tout ! Ça va du chef d’entreprise, à la police, à un du GIGN qui nous a écrit encore hier. Il y a des gens connus et d’émissions de télé. Ça va du mec marié, qui se planque à 23 h quand sa femme dort, à des jeunes de 25 ans, des gens de 40 ans. Il y a vraiment tous les profils. »

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par PRBK (@purebreak)

Alexandre se fâche

Dans une récente interview accordée à Pure Break, Amandine Pellissard a tenu à mettre certaines choses au clair. Pour commencer, elle a rappelé que son mari était tout à fait d’accord pour se lancer dans l’aventure avec elle. Bien-sûr, la jeune femme semble plus extravertie que son amoureux. Mais dans leur vie privée, il a aussi son mot à dire sur leurs activités dans l’industrie du X. D’ailleurs, cette nouvelle activité ne signifie pas leur couple à l’envie de s’ouvrir aux relations extraconjugales.

« Ça dépend des demandes en fait, parce qu’il y en a qui me demandent en mariage, y’en a qui veulent b***** avec moi pour 10 000 euros, y’en a, des fois, ils l’énervent un peu, mais quand c’est comme ça, c’est lui qui répond. »

Et lorsque les abonnés vont trop loin, le conjoint d’Amandine Pellissard n’hésite pas à les recadrer. Il a même expliqué sa position sur le sujet en détails.

« Sévère mais poliment. (…) Enfin pas toujours. Une fois y’en a un qui a envoyé plusieurs messages, c’était même agaçant. Il voulait absolument la rencontrer, il était prêt à tout lui donner et puis il a commencé à envoyer des photos de lui, on l’a bloqué et puis, au revoir ! »

Malgré tout, cette reconversion reste très intéressante pour le couple. Notamment sur le plan financier. Aussi, Amandine Pellissard a indiqué comment fonctionne cette nouvelle carrière.

« C’est un peu comme un réseau social type Instagram avec un mur de photos, qui est payant et accessible par le biais d’un abonnement qui coûte 10 euros par mois. Après, les abonnés te demandent les vidéos en privé. On a le prix en fonction de ce qu’on nous demande de faire. C’est à la carte comme au resto. »

Sources : nextplz.fr

Il était une pub est un média indépendant. Soutenez-nous en nous ajoutant à vos favoris Google Actualités :

Suivez-nous :