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Né en 1971 à Beauvais, Philippe Caverivière a grandi avec un père ouvrier et une mère travaillant dans la pâtisserie. Dans sa jeunesse, il a suivi des études en BTS Commerce international. Cela dit, le jeune homme n’a pas fait carrière dans l’import/export. En revanche, dans les années 1990, il exerce en tant que chef des sports, dans un établissement du Club Med, situé dans la Drôme. Il tente de se lancer dans l’immobilier, puis dans la restauration, sans succès. Finalement, au début des années 2000, il devient auteur pour Nicolas Canteloup (rencontré au club Med). À partir de 2009, le comique apparaît sur France 2, en compagnie de Michel Drucker. Et depuis 2019, il tient une chronique intitulée L’œil de Philippe Caverivière sur RTL. Or, ce 11 janvier 2024, la matinale de la radio se déroulait à Sochaux… Une situation qui a beaucoup inspiré le chroniqueur…
Qui aime bien, châtie bien
Si la France n’est pas le pays avec la plus grande superficie, on y retrouve une incroyable diversité en termes de traditions et de paysages. Des collines provençales, aux rues bondées de Paris, en passant par la tranquillité du Massif Central… Chaque région a ses particularités. Habituellement, l’équipe de RTL se retrouve dans des studios de la capitale pour présenter la matinale. Or, ce 11 janvier, l’émission a été enregistrée depuis le stade Bonal, à Sochaux, dans le Doubs. Et visiblement, ce changement a donné plein d’idées à Philippe Caverivière, qui a enchaîné les blagues sur cette ville de Franche-Comté.
« Le prochain qui me dit à Paris qu’il fait un peu froid, c’est mon poing dans la gueule. À Sochaux, il fait froid. À Paris, il fait parfois frisquet. Niveau conditions climatiques, on a passé un cap, on est à l’état sauvage. »
Si cette boutade a pu vexer quelques auditeurs, la plupart auront compris qu’il ne s’agissait que d’un propos à prendre au second degré. Après avoir taclé la météo, le chroniqueur a enchaîné en blaguant sur les habitants et les conditions de vie à Sochaux.
« Sachez que RTL est toujours la première sur l’actu brûlante. La France est en plein remaniement, tout se passe entre l’Élysée et Matignon. La direction de RTL nous a donc très logiquement dit d’aller à Sochaux. On salue le public présent, merci à nos amis, chômeurs et retraités d’être venus nous voir. Oui, ils parlent notre langue. On est au stade Bonal, vous connaissez le stade terminal, le stade Bonal c’est juste après. »
Pour terminer sa chronique, Philippe Caverivière a ajouté une petite pique concernant l’architecture de la ville. Tout en donnant des nouvelles du remaniement du gouvernement, qui tarde encore à se faire connaître.
« Le casting final va être annoncé ce week-end et d’ici à une vingtaine d’années à Sochaux. On a taquiné Sochaux, mais Sophie, notre rédactrice en chef, nous disait hier soir avec candeur : ‘avec la neige, on ne se rend pas compte que c’est moche’. Vous pourrez la lyncher à la sortie. »
La vie privée de Philippe Caverivière
Si l’humoriste se permet d’aller aussi loin, il ne faut pas oublier qu’il a lui-même vécu dans l’Est de la France, mais aussi dans le Var. Il sait donc parfaitement s’adapter au climat en dehors de la région parisienne. En général, il préfère rester discret sur ses proches. Néanmoins, on sait qu’il file le parfait amour avec son épouse depuis environ 17 ans. Prénommée Sarah, elle exerce comme architecte d’intérieur. En septembre 2023, dans Gala, Philippe Caverivière a d’ailleurs évoqué leur rencontre en détail.
« Je l’ai rencontrée alors qu’elle travaillait dans l’agence immobilière de mon grand frère, Patrick. (…) On a d’abord été copains pendant cinq ans avant de nous mettre ensemble. C’est le coup de foudre le plus lent de l’histoire ! »
