Mathieu (ADP) évoque son chemin difficile vers la paternité : « Montagnes russes émotionnelles… »

Révélé dans la saison 15 de L'Amour est dans le pré, Mathieu (ADP) a recours à la gestation pour autrui, afin d'avoir un enfant.

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Depuis 2005, le public a pris l’habitude de vivre de grands moments d’émotion, devant L’Amour est dans le pré. Dans cette émission, diffusée sur M6, des agriculteurs en quête de l’âme sœur ont la possibilité de faire des rencontres, pour dire adieu au célibat. Dans l’aventure, ils peuvent compter sur le soutien et les capacités d’écoute de la belle Karine Le Marchand. Durant la saison 15, Mathieu (ADP), éleveur de taureaux, avait fait connaissance avec Alexandre. Leur idylle, née devant les caméras, avait même débouché sur un mariage en 2021. Cela dit, depuis les deux hommes ont fini par se séparer. Depuis, l’agriculteur fait tout pour devenir papa, même en solo. On fait le point !

Mathieu (ADP) rêve d’avoir un enfant

En septembre 2022, le candidat de L’Amour est dans le pré avait annoncé sa rupture avec Alexandre. Cette nouvelle avait attristé de nombreux fans de l’émission. Cela dit, il semble que les deux ex restent toujours en bons termes. Et cette séparation n’a pas empêché Mathieu (ADP) de se lancer dans un autre projet qui compte beaucoup pour lui : devenir papa. Pour ce faire, il l’assume : il va passer par la GPA (Gestation pour autrui). En France, la loi sur la bioéthique interdit cette pratique. L’agriculteur a donc décidé d’aller faire les démarches nécessaires en Colombie. Il a également rencontré une femme, qui donnera la vie à son enfant dans les prochains mois.

« Je vais avoir un bébé solo. », expliquait l’éleveur, l’année dernière.

Ce 15 août 2023, une étape importante du processus de GPA devait avoir lieu. En effet, les médecins devaient transférer l’embryon dans l’utérus de la mère porteuseMathieu (ADP) paraissait extrêmement enthousiaste.

« GPA : C’EST PARTI… Ma porteuse de vie a fait tous les examens qu’il fallait. Elle est en pleine forme, prête à faire ce geste incroyable. Le transfert d’embryons aura lieu le 15 août, en espérant qu’elle tombe enceinte, qu’il prenne. Je croise les doigts. »

Cette joie et cet espoir avaient beaucoup ému ses abonnés, qui suivent ses aventures au quotidien. Cela dit, il faut savoir que la GPA peut aussi connaître des imprévus ou des échecs. Aussi, les parents ayant recours à cette méthode ne doivent jamais crier victoire trop tôt. Le futur papa l’a bien compris, après un coup dur, vécu ces derniers jours…

 

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Mathieu (ADP) se fait discret

Après l’annonce du transfert d’embryon, l’agriculteur, pourtant très actif sur les réseaux sociaux, n’a pas donné de nouvelles à ses followers. Au total, il a attendu 10 jours avant de s’exprimer de nouveau sur Instagram. Visiblement, Mathieu (ADP) reste encore un peu bouleversé par la mauvaise nouvelle qu’il a apprise ces derniers jours.

« Je n’ai pas trop donné de nouvelles parce que le 15 août lorsque ma porteuse de vie est allée à la clinique, son endomètre n’était pas assez épais, donc le transfert n’a pas pu avoir lieu. »

Après cette déconvenue, la mère porteuse et le futur papa ont programmé un deuxième rendez-vous avec les médecins. Mais il arrive que le corps humain soit capricieux. En effet, pour qu’une grossesse puisse se poursuivre de façon saine, il faut que l’endomètre de la maman puisse accueillir l’embryon, fécondé quelques jours avant. Malheureusement, le deuxième essai n’a pas donné plus de résultats. Au grand dam de Mathieu (ADP).

« Il y avait eu un premier échec le 15 août, et hier, finalement, ça ne s’est pas fait non plus. »

De fausses joies en mauvaises nouvelles, l’agriculteur a bien du mal à garder son sang-froid. Cela dit, il ne perd pas espoir. Qui sait ? Peut-être que la troisième tentative sera la bonne.

« Quelles montagnes russes émotionnelles… Prochain rendez-vous, le 31 août, voilà. »

Espérons que l‘éleveur de taureaux reviendra bientôt vers nous avec d’autres informations, plus joyeuses. D’ici là, souhaitons-lui bon courage dans ce processus parfois éprouvant.

Sources : voici.fr

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