Gilles Bouleau : « Si vous m’offrez le salaire de Mbappé » Le journaliste ironise sur son salaire à TF1

Gilles Bouleau s’est montré franc sur son salaire lors d’une interview, expliquant qu’il n’avait pas de pudeur avec l’argent qu’il gagnait.

© TF1

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Lors d’une interview avec Buzz TV, Gilles Bouleau, le présentateur du journal télévisé de TF1, a fait une déclaration surprenante concernant son salaire. Il a déclaré ne pas avoir de pudeur avec l’argent qu’il gagne. Cette révélation de la part d’une personnalité médiatique est rare et a suscité de nombreux commentaires. Dans cet article, nous allons analyser les propos de Gilles Bouleau, les raisons de sa déclaration.

Gilles Bouleau présentera le couronnement de Charles III

Samedi à 9 heures, TF1 diffusera le couronnement de Charles III et de la reine consort Camilla. Gilles Bouleau et Anne-Claire Coudray seront en première ligne. Quinze envoyés spéciaux se chargeront de couvrir l’événement sur place. Plus de six heures de direct sont prévues pour faire vivre aux téléspectateurs cette cérémonie.

 

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Le présentateur du journal de 20 heures de TF1, pour tenir le coup, a un secret : il boit de la compote. Il a expliqué sur le plateau du Buzz TV qu’il la consomme avec une bouteille d’eau et une ou deux dattes. Et il ne prend pas de pause pipi, en plaisantant que

« lors d’un marathon, on ne fait pas de pause pipi », lui qui court le marathon en 3 h 15.

L’événement historique sera suivi à travers le monde par des centaines de millions de téléspectateurs. Comment peut-on expliquer l’attrait de la monarchie britannique, en particulier chez les Français ?

Gilles Bouleau estime que :

« La France est, d’une certaine manière, encore monarchique dans l’esprit »

Le journaliste qui a été correspondant à Londres pour TF1 entre 2001 et 2005 poursuit :

« Les Français savent que ce n’est pas une dictature. Le Royaume-Uni est l’un des pays les plus ouverts au monde. On ne vous demande pas votre pièce d’identité dans la rue et les policiers ne sont pas armés, c’est juste incroyable »

Dans cet entretien, Gilles Bouleau a été questionné sur la récente controverse télévisuelle concernant les salaires de l’émission LOL : qui rit, sort. Plus tôt, Blanche Gardin avait révélé qu’elle avait refusé une offre de 200 000 euros pour participer à ce programme d’Amazon.

Gilles Bouleau affirme :

« Dès qu’on parle d’argent en France, il y a une sorte de pudeur mal ou bien placée, je ne juge pas »

Le salaire de Gilles Bouleau

En conclusion de son interview, Gilles Bouleau ironise en disant :

« Je n’ai pas de pudeur avec l’argent que je gagne, les impôts que je paye et le travail que j’effectue, réplique-t-il d’emblée. Pour répondre à cette question, je réponds souvent : “Vous aimez le foot ? Je gagne plutôt moins qu’un gardien de but de Ligue 2″. C’est formidable, vive la Ligue 2 et les gardiens de Ligue 2 », se réjouit l’homme qui va bientôt fêter ses 61 ans. D’après nos confrères de L’Équipe, un salaire moyen d’un joueur en Ligue 2 est de 15 000 euros brut par mois. « Après si vous m’offrez le salaire de Mbappé, son 13e mois suffirait… »

L’énorme gaffe de Gilles au 20h de TF1

En 2014, Gilles Bouleau a animé une émission sur le Sidaction avec Pierre Bergé et Pascal Obispo. Devant près de 7 millions de téléspectateurs, il a affirmé avec confiance :

« Est-ce que c’est dur aujourd’hui de faire appel à la générosité des français alors que grâce à ces progrès scientifiques, le SIDA est une maladie chronique ? C’est une maladie grave, mais on n’en meurt pas »

Les déclarations de Gilles Bouleau ont suscité une réaction rapide de ses invités. Pierre Bergé, choqué, a interpellé le journaliste en exprimant son incrédulité :

« Comment ça, on n’en meurt pas ? »

Après ces propos, le journaliste a tenté de se justifier en avançant que les patients des pays riches peuvent vivre avec le VIH pendant 20 ans. Contrairement à il y a deux décennies où cela signifiait une condamnation à mort. Cependant, cette explication n’a pas apaisé les invités.

Pierre Bergé a souligné que de telles déclarations ont contribué à éloigner les gens de la recherche et des dons pour la lutte contre le SIDA. Il a rappelé qu’un grand titre de journal avait annoncé que le SIDA allait bientôt devenir une maladie banale. Ce qui avait eu un impact négatif sur la générosité des gens.

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