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Ses abonnés comme le monde du journalisme sportif ont été surpris par l’annonce de la compagne de Pierre Rabadan, ancien rugbyman. Fêtant ses 43 ans ce 24 février 2023, Laurie Delhostal n’est pas prête à se laisser abattre par sa maladie.
D’ailleurs, lors de son interview rapportée par Ozap, le 19 février 2023, la journaliste a confié que lorsqu’elle
« arrive au bureau », elle n’est pas « une malade du cancer ».
Elle a précisé qu’elle est plutôt une :
« Laurie, journaliste qui vient faire son émission ».
Bien que ce soit « bizarre » pour elle de parler de sa maladie :
« Le fait d’en avoir parlé avec des gens qui n’en avaient pas parlé » l’a convaincue.
Laurie Delhostal se retire momentanément de la télé à cause de son cancer
Temporairement, la journaliste sportive sera absente sur la chaîne France Info et la chaîne L’équipe. En effet, comme elle l’a annoncé sur son compte Instagram, elle souffre d’un cancer. De ce fait, elle a décidé de faire une petite pause dans sa carrière télévisée pour suivre une chimiothérapie.
« Il y a un mois tout juste, on m’a dit : “vous avez un cancer”. J’ai découvert les IRM, Pet Scan, le Pac. Plein de médicaments pour ne pas vomir. Le bonnet de water-polo glacé pendant la chimio », a-t-elle confié dans son post. La mère de la petite Anne-Rose a ensuite ajouté : « J’ai arrêté la télé de suite. Plus trop envie de rire dedans. Peur que mes cheveux tombent d’un coup pendant une pub. »
Toutefois, Laurie Delhostal a précisé que pour le moment, elle n’a encore
« vomi sur personne » et a encore « tous ses cheveux ».
Face à cette rude épreuve, la célèbre femme fait tout de même preuve d’une vraie force de caractère.
« 146 litres de larmes », mais Laurie Delhostal arrive « à tenir dans la machine »
Le mardi 21 février 2023, dans sa story sur Instagram. La mère de famille avait lancé une devinette à ses abonnés :
« Combien de litres de larmes derrière cette porte ? : 72, je ne suis plus une débutante ou 146, je hais les IRM. »
Comme elle l’a elle-même expliqué, « ce fut 146 ». Malgré cela, elle a trouvé l’astuce pour faire face à ses séances de chimio. Elle a souhaité dévoiler sa méthode à ceux qui en ont besoin.
« J’ai une méthode désormais pour arriver à tenir dans la machine : je me force à répéter des listes pour occuper mon esprit. Aujourd’hui, c’étaient les 20 derniers entraîneurs du PSG… (dans le bon ordre hein) », a-t-elle partagé. Et pour « préparer le classique de dimanche », ce seront « les 20 derniers entraîneurs de Marseille », a-t-elle poursuivi.
Cela fait plusieurs mois que la maman d’Anne-Rose mène son combat, mais elle garde le moral, souhaitant de retrouver
« très vite » ses followers « pour de nouveaux tips ».
En plus des listes, il faut aussi savoir que si Laurie Delhostal a réussi à tenir bon, c’est grâce au soutien qu’elle a eu.
Comment vit-elle son cancer au travail ?
Lors de son interview rapportée par le journaliste Ludovic Galtier, le 19 février 2023, celle qui a couvert les Jeux Olympiques de Tokyo pour Eurosport s’est confiée sur son quotidien. Expliquant que le cancer n’a pas affecté son travail, elle a précisé :
« Je suis hyper contente du soutien que j’ai eu. C’était absolument formidable d’avoir une direction qui vous dit : “Si tu as des coups de moins bien et que tu as besoin d’annuler ta présence à une émission, tu le fais évidemment quand tu veux.” »
Elle a en plus révélé qu’elle allait
« reprendre bientôt sur la chaîne L’équipe » et qu’elle n’est pas prête à arrêter la télé.
Même si elle n’a pas encore parlé de sa date de retour avec sa direction
elle est « sûre » qu’elle reprendra « avant la fin de la saison ».
Laurie Delhostal, sa « tête de joie » après son premier protocole de chimio
Le 23 décembre 2022, la journaliste sportive a avoué sur l’un de ses posts Instagram qu’elle « cache des blessures » derrière ses sourires.
« Cette tête de joie, c’est celle d’avoir fini son premier protocole de chimio sans réfléchir, d’avoir travaillé jusqu’aux vacances et d’avoir réussi à passer dignement une nouvelle IRM », a-t-elle écrit, précisant que c’est également « une tête de fatigue qui ne dort plus trop ».
Affichant un grand sourire sur sa photo, elle avait soutenu les autres malades durant les fêtes en souhaitant qu’elles leur :
« soient douces, voire joyeuses, voire pas trop douloureuses. »
