Sept à Huit : Adeline Toniutti se livre à coeur ouvert sur son terrible passé avec son ex-conjoint

Dans le portrait de « Sept à Huit », Adeline Toniutti a confié des détails sur son passé. Son ex-conjoint l’aurait menacée.

© TF1

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Le 15 janvier 2023, Adeline Toniutti était sur le plateau de « Sept à Huit ». La professeure de chant dans la « Star Academy » 2022, présenté par Nikos Aliagas, est revenue sur la première chaîne pour parler de son passé.

La chanteuse d’opéra était le « portrait de la semaine » et a livré un témoignage. Celle-ci s’est livrée sur une période traumatisante de sa vie quand elle subissait les menaces et les coups de son ex-compagnon.

Adeline Toniutti se confie dans « Sept à Huit »

Lors de son entretien dans « Sept à Huit », Adeline Toniutti a parlé de la fois où elle a perdu sa voix. Du gaz toxique dégagé par le revêtement de la cheminée a brûlé ses cordes vocales. La chanteuse d’opéra est devenue muette.

« Je m’endors soprano, je me réveille aphone… Je crache du sang, je crache mes cordes vocales » a-t-elle raconté.

Adeline Toniutti a ensuite évoqué les violences conjugales qu’elle a subies. Les choses auraient commencé par des phrases blessantes venant de son ancien compagnon qui l’a rabaissée.

« Il me dit : « Tu ne sers à rien, tu ne travailles pas, en plus, tu fais la pu*e quand tu sors ». Après, c’est une première gifle » s’est-elle souvenue sur le plateau de « Sept à Huit ».

Cela avant de poursuivre son histoire :

« Un jour, il est rentré du travail et moi, j’étais à la maison évidemment, et il a tourné la serrure. Il était fâché, j’avais mal mis les couverts sur la table et je me suis pris une tarte dans le visage. »

Adeline Toniutti avoue savoir que ce n’était pas normal, mais qu’elle se sentait « tellement » affaiblie.

« Il avait l’air pas bien. Et puis, ça a recommencé encore et encore », raconte la prof de chant.

Adeline Toniutti aurait déjà prévenu son ex-conjoint qu’elle le quitterait s’il continuait d’être abusif. Son ex-compagnon lui aurait répondu avec des menaces.

« Si tu pars, je te coupe en morceaux, je creuse un trou dans un bois et je vais t’enterrer là où personne ne te retrouvera, même pas tes parents », a-t-elle raconté durant son entretien dans « Sept à Huit ».

Elle a appelé « SOS Femmes battues »

Adeline Toniutti était dans une situation traumatisante, mais elle a fini par s’en sortir. Et ce, grâce à l’aide d’une amie qui la voyait se dégrader. Cette dernière comprenait ce qui se passait dans la vie de la chanteuse d’Opéra.

« Elle me dit « Adeline, tu veux finir sur un fauteuil comme mamie Blanche, comme ta grand-mère ? » », a-t-elle confié.

C’est à partir de ce moment qu’Adeline Toniutti s’est rendu compte qu’elle devait se prendre en main. Elle a poursuivi son témoignage en disant que même si elle n’avait plus de voix, elle pouvait encore partir.

La professeure de chant a appelé « SOS Femmes Battues » et a porté plainte contre son compagnon. Sa plainte a été classée sans suite, mais Adeline Toniutti s’en est sortie de la relation toxique qu’elle a eue.

Ne pouvant plus chanter, la jeune femme vient en aide aux autres pour qu’ils puissent chanter. Aider les autres lui aurait permis de redonner un sens à sa vie.

« Voir leur sourire et leur enthousiasme, à quel point ils sont heureux quand je les aide à chanter ou à aller mieux avec leur voix, ça me remplit », termine-t-elle.

Un reportage choquant dans « Sept à Huit »

L’émission du 15 janvier a marqué les téléspectateurs de TF1 avec l’un des reportages qui parlait des « drops ». Il s’agit d’une technique de marketing qui se base sur la vente des produits en édition limitée.

Dans l’émission, Harry Roselmack a expliqué que :

« les drops attirent des milliers d’acheteurs ».

Les vendeurs multiplient les prix jusqu’à ce qu’ils deviennent exorbitants. Le reportage mettait en avant des mouvements de foule et les violences dans l’univers des « drops ».

Les téléspectateurs de « Sept à Huit » étaient choqués de voir cette séquence du reportage. Ils étaient indignés par la guerre des drops où les prix sont 3 fois plus chers pour les produits « rares ».

« Créer la rareté alors que les paires de baskets sont fabriquées par des petites mains, quelle honte », pouvait-on lire sur Twitter

Des milliers de revendeurs dans l’univers des drops échapperaient aux impôts en France. Ces derniers risquent un redressement fiscal et des pénalités.

Sources : public.fr

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