Entre 2010 et juin 2022, Shakira et Gérard Piqué ont vécu une belle idylle. De cette union sont nés deux petits garçons. Mais maintenant qu’elle a tourné la page, la belle ne souhaite plus continuer à vivre en Espagne. Néanmoins, ce déménagement a connu un obstacle. Et pour cause : sur place, la chanteuse colombienne n’aurait pas été en règle vis-à-vis des impôts.
Pour situer un peu le contexte, Shakira aurait dissimulé des revenus sur sa déclaration de 2018. Et devant les tribunaux, elle devait rendre des comptes. Car selon le fisc espagnol, elle aurait eu 6 millions d’euros à rembourser ! Après des mois d’inquiétude, le verdict semble plutôt positif pour l’interprète de Whenever, Wherever. On fait le point !
Shakira : la fin des poursuites pénales pour la diva ?
Il s’agit de sa deuxième procédure pour fraude fiscale. Visiblement, le tribunal en charge du dossier a rendu une décision favorable à la chanteuse. Estimant que le dossier ne contenait pas suffisamment de preuves. De ce fait, la justice n’a pas pu prouver que Shakira avait fraudé avait la volonté de tromper le fisc. La procédure judiciaire a donc fait l’objet d’un classement. Un soulagement pour la star.
Ces derniers mois, l’Espagne lui reprochait aussi de ne pas avoir payé d’impôts pendant des années. Alors que selon le fisc, elle aurait bien résidé plus de 183 jours par an dans le pays. Or, à partir de cette limite, le fisc estime que les habitants ont leur résidence fiscale sur le sol espagnol. De son côté, Shakira a démenti. Selon elle, même lorsqu’elle vivait en couple avec Gérard Piqué, elle n’a jamais cessé de partir en déplacement à l’étranger. Pour les besoins de sa carrière, dans l’industrie musicale. Rappelons que la vedette doit toujours faire face à une procédure administrative, pour d’autres irrégularités datant de 2011. En outre, elle fait partie des personnalités citées dans le scandale des Panama Papers. Tout comme le père de ses deux fils. Entre temps, elle a conclu un accord. Et elle a payé une amende impressionnante. Cela lui avait permis d’éviter un autre procès, à la fin de l’année 2023.
