Née en 1969 à Paris, Alexia Laroche-Joubert a d’abord suivi des études en droit de la propriété intellectuelle, à la Sorbonne. Le grand public le connaît surtout parce qu’elle a produit des programmes à succès. Comme Loft Story et Star Academy. Elle a même été la directrice du château de Dammarie-les-Lys, dans les saisons 1, 2, 5, 6 et 7. Elle a même travaillé au sein de la célèbre société Endemol. Ce 8 mars 2024, elle a fait une apparition remarquée dans Les 12 coups de midi.
Âgée de 54 ans, Alexia Laroche-Joubert a eu un parcours inédit dans un milieu assez masculin. Ce qui ne l’a pas empêchée de s’imposer et de prendre d’énormes responsabilités dans le monde audiovisuel. Une carrière admirable, surtout pour une femme. Aussi, elle a fait une intervention ce 8 mars sur TF1, pour encourager toutes celles qui ont de grandes ambitions…
Alexia Laroche-Joubert aux côtés de Jean-Luc Reichmann
Pour cette journée internationale des droits des femmes, de nombreuses marches et manifestations ont eu lieu. En effet, il ne s’agit pas de faire des cadeaux à la gent féminine. Mais bien de reconnaître les luttes à mener pour l’égalité entre les sexes. Voilà pourquoi Alexia Laroche-Joubert a pris le temps de venir sur le plateau des 12 coups de midi ce 8 mars 2024.
Face aux caméras, la célèbre productrice a souhaité encourager les femmes. Notamment celles qui souhaitent grimper les échelons. Les téléspectateurs qui suivent le jeu télévisé de Jean-Luc Reichmann ont ainsi eu droit à un discours très inspirant. Car Alexia Laroche-Joubert a un conseil pour réussir une carrière à succès :
« Oui, alors c’est la journée de la femme. Je pense que c’est important. Ce que je dis souvent (…) c’est que moi, je n’ai jamais conceptualisé le plafond de verre. Et donc ça m’a permis, étape par étape, je ne suis pas allée, j’ai mis beaucoup de temps à monter. Ce que je voudrais dire à toutes les femmes, c’est que je ne serais pas montée, si je n’avais pas demandé. Nous avons un petit défaut nous chez les femmes, c’est qu’on attend qu’on nous offre quelque chose. Parce qu’on a le syndrome du bon élève. Et on attend le bon point. Alors, ça ne marche pas dans une carrière. Il faut demander. Et vous allez voir que vous obtiendrez. », a conclu l’animatrice.
Espérons que son témoignage pourra motiver toutes celles qui n’osent pas s’exiger leur dû dans le monde du travail. Ou qui ont peur de ne pas avoir assez de légitimité pour monter dans la hiérarchie, ou fonder leur propre affaire !
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