Afficher les titres Masquer les titres
Venue d’outre-Manche, cette jolie actrice britannique a séduit les Français à la fin des années 1960. À cette époque, Jane Birkin joue dans Slogan. Et sur le plateau de tournage, elle rencontre un chanteur et compositeur appelé Serge Gainsbourg. Elle commencera avec lui une histoire d’amour très médiatique, et une carrière de chanteuse mémorable. Mais elle poursuit également ses activités au cinéma. Ainsi, la belle a joué dans des films devenus cultes, comme La Piscine ou encore La moutarde me monte au nez. Malheureusement, cette véritable icône de la vie parisienne a trouvé la mort en juillet dernier. Aussi, sa fille cadette, Lou Doillon, née de son union avec le réalisateur Jacques Doillon, a pris la parole pour saluer la mémoire de sa maman. On fait le point tout de suite !
Jane Birkin : un deuil national
Débarquée en France à l’âge de 22 ans, la comédienne a tapé dans l’œil de Serge Gainsbourg, mais aussi du public. Avec le temps, elle avait même fini par devenir une vedette incontournable de notre beau pays. Il faut dire que Jane Birkin a vécu presque toute sa vie en faisant l’objet d’une attention particulière, de la part des médias. Déjà maman d’une petite Kate Barry, issue de son premier mariage, elle a donné naissance à Charlotte Gainsbourg en 1971. D’ailleurs, cette dernière n’a pas manqué de lui rendre hommage à plusieurs reprises, sur les réseaux sociaux et lors de ses funérailles.
« Je remercie mon père d’avoir tant aimé ma mère et je remercie ma mère de l’avoir tant aimé aussi. Je me retrouve orpheline. », a déclaré la fille chérie de Serge Gainsbourg.
Si la fille aînée de Jane Birkin a brutalement perdu la vie en décembre 2023, son fils, Roman de Kermadec restait proche de sa grand-mère. D’ailleurs, il a fait partie des premières personnes à découvrir son corps. Un épisode qui a bouleversé le jeune homme. Rappelons que ces derniers temps, il avait travaillé avec Jane Birkin, dans le cadre d’un documentaire consacré à Kate Barry. Ayant passé une partie de son enfance auprès de l’actrice britannique, le jeune réalisateur semble très douché par son décès.
« Déjà un mois que tu nous as quittés… Après 36 ans d’amour, de joies et de peines. Tu vas me manquer pour l’éternité. », note le petit-fils de Jane Birkin.
Lou Doillon s’adresse enfin à Jane Birkin
Née en 1982, la jeune femme a suivi les pas de sa maman. En effet, dès 1987, la jeune fille a ses premiers pas sur les plateaux de tournage. Parallèlement, elle a aussi eu une carrière, dès l’âge de 16 ans en tant que mannequin pour des marques comme Morgan, Mango ou Givenchy. Mais Lou Doillon a aussi eu l’occasion de faire ses preuves dans le monde de la musique. En tant que fille cadette de Jane Birkin, elle a forcément eu beaucoup de chagrin en apprenant son décès.
Aussi, ce samedi 26 août, la belle a fait le bonheur du grand public, en partageant une photo inédite dans sa story. Sur ce cliché en noir et blanc, on peut voir Lou Doillon, encore toute petite, sur les genoux de Jane Birkin. Cette image date vraisemblablement des années 1980, et la fille de la star n’a pas ajouté de texte à ce beau souvenir.
À lire Jane Birkin, décrite comme « jalouse » de Judith Godrèche par Jacques Doillon
Rappelons qu’il y a un mois, le 26 juillet dernier, Lou Doillon avait déjà rendu un premier hommage à sa maman sur Instagram. Là encore, il s’agissait d’un cliché en noir et blanc, montrant la jeune fille main dans la main avec Jane Birkin.
Voir cette publication sur Instagram
En faisant défiler le carrousel de la publication Instagram, les internautes pouvaient aussi découvrir des photos de Lou Doillon dans son enfance, mais aussi entouré de ses sœurs. Elle avait, cette fois-ci, joint un très beau texte à ce post. Avec beaucoup de poésie, elle a évoqué sa vie et ses souvenirs avec sa célèbre mère.
« Il y a Jane Birkin et my Bonnie lyes over the Ocean dans ma tête en boucle depuis dimanche. Il y a les lettres d’amour de Jacques, entourées d’un ruban rouge que j’ai trouvées près de ton lit. Et ton mot près du mien, ‘Ma Lou sentinelle’. Il y a toi qui faisais passer tout le monde avant toi, et des fois avant nous. Toi qui aimais ton public plus que tout, plus que tout. Toi qui appelle. Olivier pour demander les dates de l’Olympia. Il y a Charlotte et Roman hier, nous, près de toi une dernière fois. Maman, merci pour toutes ces aventures, merci de ne pas avoir été ordinaire, raisonnable et docile. Tout ce monde de demain, bien paisible/ raisonné m’emmerde déjà… Et il y a ton petit Laszlo qui a un an aujourd’hui. »