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Une explosion d’une violence inouïe a secoué le quartier du Val-de-Grâce, situé dans le 5e arrondissement de Paris. Le drame s’est produit mercredi dernier rue Saint-Jacques. Les flammes se sont rapidement propagées, mais heureusement, les pompiers ont réussi à les maîtriser vers 18h30. Le bilan provisoire fait état d’une trentaine de blessés, dont quatre se trouvant dans un état critique. Un véritable drame, suscitant une réaction empreinte d’émotion de la part de Pierre-Jean Chalençon.
La ville en état de choc
Le 21 juin dernier, à 16h55, une violente explosion a secoué le quartier du Vème arrondissement de Paris, rue Saint-Jacques. Dans le sillage d’une détonation retentissante, plusieurs immeubles ont pris feu, tandis qu’un d’entre eux s’effondrait sous les yeux horrifiés des témoins impuissants.
Les enquêteurs concentrent actuellement leurs efforts sur la piste d’une explosion accidentelle liée à une fuite de gaz. Une enquête pour « blessures involontaires aggravées » a été ouverte. Laure Beccuau, procureure de la République de Paris, s’engage fermement à éclaircir les circonstances ayant conduit à cette tragédie. Une tragédie qui a beaucoup ému Pierre-Jean Chalençon.
Selon les premières constatations sur le lieu du drame, l’explosion aurait émané d’un vieil immeuble au cœur de la capitale, dit-elle. Une source bien informée a révélé à France Info que les imposants blocs de pierre formant sa façade se sont projetés violemment vers la rue, provoquant un véritable chaos.
À l’heure actuelle, le décompte des victimes s’élève à 37 personnes blessées, dont quatre se trouvent dans un état critique. Apparemment, leur pronostic vital est engagé. La situation reste préoccupante et l’enquête se poursuit pour déterminer les causes exactes de cette tragédie.
Parmi les personnalités qui ont réagi avec émotion à cet événement tragique, Pierre-Jean Chalençon qui a exprimé sa profonde consternation face à cette nouvelle.
Pierre-Jean Chalençon, une voix émue pour honorer les victimes de l’explosion à Paris
Dans un élan de solidarité, les internautes se sont rapidement mobilisés sur les réseaux sociaux pour rendre hommage aux victimes. Cette ville, déjà marquée par le sinistre incendie de la cathédrale Notre-Dame en 2019, subit une nouvelle épreuve douloureuse. Parmi les voix qui se sont élevées, celle de Pierre-Jean Chalençon, propriétaire du prestigieux Palais Vivienne.
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Sur Twitter, l’ancien acheteur d’Affaire conclue a partagé une photographie de l’incendie, exprimant son effroi face à cette catastrophe.
« Terrifiant !!!!! Prions pour les victimes. Notre belle capitale n’avait pas besoin de cela », a-t-il déclaré.
Profondément affligé, ce fervent défenseur du patrimoine historique et culturel de la France a ajouté :
« Un site historique en plus … je suis effondré… prions mes amis. »
Terrifiant !!!!! Prions pour les victimes 😨😨😨😨😨🙏🙏🙏🇫🇷🇫🇷🇫🇷…. Notre belle capitale n avait pas besoin de cela 🙏🙏😨 pic.twitter.com/U9dVrAm5vW
— Pierre-jean Chalencon palais vivienne (@JeanChalencon) June 21, 2023
État de la situation à Paris
Comme mentionné un peu plus haut, la scène a eu lieu aux alentours de 17 heures. La violence de l’explosion fut telle qu’un immeuble abritant la Paris American Academy s’est effondré. Selon un bilan provisoire dressé dans la soirée de l’incident, 4 blessés en état d’urgence absolue. Deux immeubles voisins ont également été sérieusement fragilisés.
Une situation qui a particulièrement touché le cœur de Pierre-Jean Chalençon. Des témoins directs, résidents des bâtiments jouxtant l’école d’art, ont notamment partagé leur expérience.
Marie-Amélie Marcq, employée au secrétariat général de l’enseignement catholique (Sgec), raconte comment elle a été littéralement projetée de sa chaise par la puissance de l’explosion. Les locaux du Sgec, situés à côté de la Paris American Academy, n’ont pas été épargnés. Ils ont subi d’importants dommages, notamment le bureau de Philippe Delorme, responsable de l’enseignement catholique.
« L’immeuble Paris American Academy s’est littéralement effondré dans l’impasse qui mène à nos locaux, situés à l’arrière. Je ne connais pas beaucoup cette école d’art et de mode. Mais ils reçoivent essentiellement des étudiants américains, surtout des filles. Un de nos permanents qui venait de s’engager dans l’impasse a été enseveli sous les décombres. Il a été dégagé assez vite, blessé, et a été emmené à l’hôpital », poursuit-elle.