Les primes se succèdent et la pression monte dans la saison 13 de The Voice ! Durant les premières semaines, le jury a pu faire le plein de talents prometteurs. Mais par la suite, un tri a été fait dans toutes les équipes, avec les Battles. Et maintenant que les Cross Battles ont commencé, les coachs doivent confronter leurs candidats. Avec un seul objectif : la victoire. Ce samedi 4 mai au soir, Lillian a dû se mesurer à Ugo Cicoletta.
Les deux artistes ont eu un comportement vraiment fair-play tout au long de l’épreuve. Mika misait beaucoup sur son talent pour tout rafler. Il faut dire que Lillian a un univers musical atypique, avec un répertoire qui traverse les époques. Face au petit blond, Ugo Cicoletta n’en menait pas large au départ. Sa spécialité ? Le rap. Mais finalement, il a très bien su tirer son épingle du jeu. Et c’est lieu qui va poursuivre son parcours dans The Voice !
Ugo Cicoletta en route vers les étoiles
Sur le plateau du télécrochet, les coachs font tout pour encourager les candidats. Nikos Aliagas contribue aussi à maintenir une ambiance bienveillante dans l’émission. Cela dit, il s’agit bien d’une compétition. Et même si, au stade des Cross Battles, il ne reste que la crème de la crème, il n’y a qu’une place pour la victoire. Heureusement pour lui, Ugo Cicoletta a réussi à convaincre le public présent au studio avec sa reprise de Quand je marche, de Ben Mazué. Il a ainsi récolté 62 % des voix des spectateurs. Et ce, grâce à sa façon de s’approprier ce texte fort.
« C’est un grand talent. », notent son coach Bigflo.
Visiblement, les téléspectateurs ont aussi validé sa performance vocale :
« Bravo Ugo Cicoletta pour ta prestation au top ! Ta prestation était incroyable et émouvante !!! Tu as beaucoup de talents ! Bravo à lui qui a été choisi, c’est vraiment mérité ! », tweete une jeune femme.
Même si Lilian quitte l’aventure, il n’a pas à rougir de sa prestation dans The Voice. En effet, il a opté pour la chanson culte Et maintenant, de Gilbert Bécaud. Et même s’il a dû s’incliner devant Ugo Cicoletta, nous n’avons sans doute pas fini d’entendre parler de loi. Affaire à suivre !
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