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Parmi les vedettes, on ne trouve plus seulement des artistes, des hommes d’affaires ou des têtes couronnées. Il faut aussi composer avec les candidats de téléréalité et les influenceurs. Concernant ces derniers, les préjugés sont nombreux. Arnaques, pratiques commerciales trompeuses… Beaucoup de scandales ont éclaté dans le milieu. Avec toutes ces polémiques, l’ancienne patronne de Shauna Events en a pris pour son grade. Le 24 février, Iris Mittenaere se trouvait sur le plateau de Quelle Époque ! Avec son compagnon Diego El Glaoui. Ce dernier dirige une agence, appelée We are influence. Comparé à Magali Berdah, il a vivement réagi. Aussi, ce 25 février, elle a répliqué sur Instagram…
Magali Berdah a été alertée par ses abonnés
Dans le talk-show de Léa Salamé, Iris Mittenaere et son fiancé ont évoqué leur mariage, qui se fait attendre. Mais aussi la série documentaire Influence(s) : L’agence derrière vos écrans. En effet, le couple y apparaîtra dès le 28 février sur Prime Video. Or, dans Quelle Époque, l’amoureux de la Miss France 2016 a aussi évoqué sa profession. En effet, on présente souvent Diego El Glaoui comme un homme d’affaires. Mais il faut savoir qu’il évolue, lui aussi, dans une agence avec des influenceurs. Or, il ne veut pas qu’on l’associe avec Magali Berdah pour autant.
« J’ai juste le sentiment que personne n’a détrôné personne, j’ai juste le sentiment que je ne fais pas le même métier pour être totalement honnête. (…) Parlons des talents, déjà ce ne sont pas les mêmes personnes, ce ne sont pas les mêmes profils. Nous on va les appeler plutôt des ‘créateurs de contenu’ eux ils vont s’appeler ‘influenceurs’. La réalité c’est qu’aujourd’hui le terme ‘influenceur’ est devenu un terme fourre-tout, on est obligé de l’utiliser. », a précisé le fiancé d’Iris Mittenaere face à Léa Salamé.
🗣️ "On est 100% d'accord avec ce que dit @booba qui a mis un gros coup de pied dans la fourmilière" des influenceurs, déclare le co-fondateur de l'agence We Are Influence Diego El Glaoui "qui ne fait pas le même métier" que @MagaliBerdah
📺 #QuelleEpoque @FranceTV @LeaSalame pic.twitter.com/UTg9p9HNd5
— Quelle Époque ! (@QuelleEpoqueOff) February 25, 2024
Cela dit, ce sont surtout les propos de Diego El Glaoui concernant Booba qui ont fait réagir. Certains ont ainsi décidé de montrer l’extrait à l’ancienne papesse de l’influence.
« On est 100% d’accord avec ce que dit Booba qui a mis un gros coup de pied dans la fourmilière, ça permet de faire avancer les choses, aujourd’hui le gouvernement s’est penché sur le sujet. », a déclaré Diego El Glaoui.
Ces paroles ont beaucoup choqué Magali Berdah, qui n’a pas tardé à contre-attaquer via son compte Instagram.
« Bon, je vais répondre. Je pense que j’en ai le droit. Je suis tranquille chez moi avec mes enfants. Je me fais taguer sur France Télévisions et Quelle époque ! [NDLR : via des mentions sur la plateforme X]. Et je vois tous vos messages, vous avez raison, on va se défendre. »
Une grosse mise au point
En effet, si Booba a dénoncé les dérives de l’agence Shauna Events et des influenceurs, il doit aussi faire face à d’autres ennuis. Magali Berdah l’accuse, de son côté, d’organiser son harcèlement en ligne depuis des mois. Aussi, elle n’accepte pas trop que des personnalités soutiennent le rappeur à la télévision. Ainsi, elle n’a pas hésité à s’en prendre à Iris Mittenaere. Ou plutôt à son fiancé.
« Pas si détrônable que ça, quand tu es obligé de faire la première promotion télévisée de ton programme (…) vous êtes obligés de parler de moi, et d’essayer de me descendre. Pas très fair-play pour des gens si lisses et si politiquement corrects. », commence-t-elle, dans sa story.
Elle a aussi laissé entendre que Diego El Glaoui et sa belle n’étaient pas réellement ensemble.
« D’ailleurs, venant de gens qui font semblant d’être encore en couple pour faire leur promotion et leurs placements de produits, je n’ai pas vraiment de leçon à recevoir. (…) Ce besoin de se sentir au-dessus, d’une manière hautaine, parce qu’on ne fait pas partie de la même classe médiatique. », précise Magali Berdah.
Enfin, Magali Berdah regrette que le couple, ainsi que les médias, ne prennent pas son statut de victime au sérieux. Alors même qu’elle estime avoir apporté beaucoup avec sa société Shauna Events, elle considère que certains cautionnent ce qui lui arrive aujourd’hui.
« Vous auriez pu rappeler que 30 personnes viennent d’être jugées dans mon affaire. Que Booba est quand même mis en examen pour cyber harcèlement aggravé et placé en contrôle judiciaire. (…) En France, le seul problème, c’est qu’on choisit ses victimes ! », conclut Magali Berdah.
