Claude François : les exigences improbables du chanteur selon Isabelle Forêt

Claude François a été et reste encore l’idole de toute une génération qui a fait chanter et danser de bon cœur. Mais, derrière ce personnage joyeux se cache une autre histoire.

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La fin du XXᵉ siècle a été musicalement marquée par la présence de Claude François. Ce dernier a fait chanter et danser de très nombreux Français pendant tant d’années. Et même encore aujourd’hui, certains ne rechignent pas à se déhancher sur une chanson de Cloclo. Mais derrière ce showman et cet idole que tant appréciaient, se cache en réalité une personnalité bien moins attrayante. En effet, de nombreuses personnes décrivent que le chanteur restait personnellement très difficile à vivre. Et la mieux placée pour en parler, reste celle qui a partagé sa vie pendant cinq ans, et avec qui il a eu des enfants. On vous explique tout ici. 

Claude François
Claude François au match de volleyball entre journalistes et artistes le 22/03/1972 – Crédits Photos : Getty Images

Claude François, un artiste apprécié

Encore aujourd’hui, des millions de Français ont encore machinalement toutes les paroles des chansons du célèbre Claude François en tête. Mais si de nombreuses personnes aiment l’artiste, il y en a beaucoup moins qui connaissent l’homme et surtout qui apprécient sa personnalité. Il se trouve que cet artiste a eu de nombreuses réputations. Et parmi ces dernières, celle d’être particulièrement difficile à vivre. Et souvent bien trop exigeant

Un homme redouté

De ceux qui sont encore là pour parler de Claude François, peu parlent de sa personnalité comme celle d’une personne d’agréable. En effet, Michèle Torr qui a pu se rendre dans l’émission Un dimanche à la campagne le 19 mars dernier, avait pu faire des confidences sur cet artiste. Il faut dire que cette dernière le connaissait bien. En plus d’avoir partagé les bancs de l’école ensemble, elle avait même pu partir en tournée avec lui.

J’ai fait l’école Claude François. C’était un grand professionnel, perfectionniste, j’étais à l’écoute, en admiration. Une fois sur scène, ce n’était jamais pareil, il improvisait souvent les textes, pour dire à ses musiciens ce qu’il pensait d’eux […] Oui, il était odieux, il était charmant, c’était Claude quoi !”. 

Mais ce tempérament souvent ingérable et difficile à supporter, il y a une personne qui l’a subi de nombreuses années. En effet, de 1967 à 1972, Claude François a partagé la vie de la belle mannequin Isabelle Forêt. Et durant ces cinq années, ils ont même pu avoir deux enfants ensemble. Il y a eu Claude François Junior en 1968 et Marc François en 1969. Alors, si une personne reste bien placée pour parler de ce dernier, cela reste sans nul doute la mère de ses enfants. 

Claude François
Claude François et sa femme Isabelle chez eux au Moulin de Dannemois le 20 novembre 1972, France – Crédits Photos : Getty Images

Des exigences toujours plus folles

La belle Isabelle Forêt a donc pu revenir sur cette période de sa vie où elle partageait la vie de Claude François. Elle avait décidé de faire de nombreuses confidences il y a près de 20 ans déjà dans Saga. La mannequin revenait notamment sur ses souvenirs du quotidien qu’elle avait avec ce dernier qui restait toujours avec des exigences folles.

J’avais à la fois les enfants à gérer comme toutes les mamans. J’avais à la fois les ouvriers puisque dans la maison, on vivait avec des ouvriers, puisque le moulin était toujours en restauration. Et il fallait gérer aussi, toute la maniaquerie qu’il imposait. C’est-à-dire, pas une goutte d’eau sur une vitre, surtout pas une assiette fêlée. Il fallait que tout soit en place lorsqu’il arrivait”. 

Mais ce qui reste le plus étonnant reste la façon dont Claude François bloquait sur leurs escaliers. Isabelle Forêt racontait :

Il y a avait par exemple un détail qui pour moi était quelque chose qui devenait absurde. Chaque semaine, il fallait repeindre la montée d’escalier, pour que la montée d’escalier soit très blanche. Tous les vendredis soirs, je repeignais à quatre pattes la montée d’escalier. Tout devait être perfection”.

Elle ajoute même :

Son côté possessif était invivable. Je ne pouvais pas aller au cinéma, ni sortir, ni continuer à faire des photos sans que ça déclenche des crises terribles. J’en ai eu marre de ses caprices, alors j’ai pris les enfants et je suis partie vivre dans le Midi”. 

Sources : voici.fr

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