Le conflit israélo-palestinien ne pas d’hier. Mais depuis le 7 octobre dernier, il a pris des proportions terribles. Qui émeuvent les responsables politiques, mais aussi les vedettes et les anonymes. Sur les réseaux sociaux, certains ont même appelé à bloquer les influenceurs restés silencieux sur le sujet. Or, pour ceux qui brisent le silence, les choses peuvent mal tourner. Camille Lellouche en sait quelque chose.
La belle a commencé sa carrière comme actrice. En apparaissant dans le film Grand Central. Mais depuis, elle a aussi fait ses preuves comme humoriste. Et même en tant que chanteuse, avec des titres comme Ne me jugez pas, Mais je t’aime ou encore Fumette. Artiste engagée, Camille Lellouche a décidé de partager une cagnotte en faveur des enfants de Gaza dans sa story Instagram. Malheureusement, cette initiative altruiste lui a valu des messages inacceptables…
Camille Lellouche pousse un gros coup de gueule
La vedette a grandi dans une famille tournée vers l’art, de religion juive, à Vitry-sur-Seine. Ses racines la rendent sensible à l’actualité. Autant pour les otages israéliens retenus par le Hamas, que pour les populations civiles décimées par Israël. Rappelons que depuis des mois, la guerre a pris une tournure particulièrement meurtrière. Déterminée à rester du côté de la paix, Camille Lellouche a décidé de sensibiliser les abonnés. En leur proposant de faire un don pour aider les enfants innocents à survivre dans ce contexte tragique. Avec cette simple story Instagram, elle n’avait pas anticipé les réactions déplacées de certaines personnes.
« J’ai honte de ce que je reçois en privé. Comment pouvez-vous comparer les souffrances d’un parent ou d’un enfant, peu importe l’appartenance religieuse ? On parle d’enfants qui meurent ! Que la paix revienne dans le monde. Et que Dieu vienne en aide aux incultes, aux ignorants sans cœur et aux mauvais, vous me faites gerber. »
Lors de la Seconde Guerre mondiale, l’holocauste a directement frappé les ancêtres de l’artiste. Des atrocités auxquelles certains internautes n’ont pas hésité à la renvoyer. Là encore, Camille Lellouche dénonce des propos inadmissibles.
« Et à ceux qui osent parler de mes défunts grands-parents déportés… Ils n’auraient jamais pu accepter les horreurs du 7 octobre. Et ces parents ne retrouveront peut-être jamais leurs enfants. Et le massacre qui se produit encore aujourd’hui sous nos yeux à Gaza, ou des mamans qui pleurent leurs enfants tués par des bombes. »
