Tout comme Inès Reg, Natasha St-Pier a vécu sa participation à DALS dans un contexte difficile. Après les rumeurs sur son clash avec l’humoriste, elle a reçu de nombreuses critiques en ligne. Parfois accusée de racisme, elle a tenté d’apaiser ce conflit. Et à présent, le climat semble bien plus sain entre les deux vedettes. Au départ, la chanteuse canadienne ne s’attendait pas à rester aussi longtemps dans l’émission…
Elle visait une élimination autour de 3ᵉ ou 4ᵉ prime. Et pourtant, l’expérience a fini par la changer. Au contact de d’Anthony Colette, elle a su prendre confiance en elle. Se libérer de ses freins et de ses complexes. D’ailleurs, le danseur n’hésite pas à la dire : il est fier de sa partenaire. Face au jury, Natasha St-Pier a connu des triomphes et des déceptions. Mais au cours de cette demi-finale, elle a réussi à les toucher en plein cœur… Ce qui laisse présager le meilleur pour la suite !
Natasha St-Pier cartonne auprès des juges
Dans un décor aérien, presque enfantin, l’artiste a su se mouvoir avec grâce au bras d’Anthony Colette. Plus fusionnel que jamais, le duo de choc a présenté une valse, tout en sensibilité, sur une chanson culte. Mistral Gagnant, de Renaud. Avec précision et sincérité, Natasha St-Pier a séduit le public. Et aussi les juges ! Tandis que, juste avant son passage, Inès Reg avait déjà récolté 37 points…
À lire Natasha St-Pier tente de reprendre la main sur sa page Wikipédia : « Comment fait-on ? »
Mais Anthony Colette et sa partenaire ont aussi eu le droit à leur quart d’heure de gloire. C’est Fauve Hautot qui a pris la parole en premier pour saluer leur performance. Avec un superbe compliment.
« Tu amènes une poésie que personne n’amène sur le plateau. (…) Ce soir, c’est un 9 ! »
Même son de cloche pour Jean-Marc Généreux, qui a été bluffé par la valse de ce binôme, très soudé :
« Honnêtement ce soir, quelle complicité (…) Le sourire que tu as apporté, tu as dansé comme une femme libre. (…) C’est pas juste les mistrals qui sont gagnants, c’est nous tous. », a déclaré le juge, avant d’accorder un 9.
« On a cru que ce que tu as fait ce soir. (…) C’était romantique, j’ai adoré. »