Candace Owens a décidé de repasser à l’offensive dans la nuit du 14 au 15 mars. En effet, pour ceux-ci n’auraient pas suivi l’affaire, la commentatrice politique s’est emparée d’une vieille rumeur. Ainsi, cette dernière accusait Brigitte Macron d’avoir falsifié son identité. De fait, elle l’accuse d’avoir été un homme durant les 30 premières années de sa vie. En France, Brigitte Macron a attaqué en justice les deux femmes qui ont propagé cette folle rumeur via une vidéo YouTube. D’ailleurs, cette affaire se trouve toujours en cours.
Du côté des États-Unis, Candace Owens demeure une proche du candidat à la présidence américaine Donald Trump. Par voie de conséquence, elle utilise cette affaire pour mettre en lumière la manipulation des médias dans le monde. Notamment en France, où selon elle, cette affaire révèlerait qu’on serait dirigé par des menteurs et pédophiles. Dans cette mesure, Candace Owens continue de propager ses théories conspirationnistes. En outre, dans le cas présent, l’ensemble de la presse française couvrirait cette affaire. On vous fait le point sur ses arguments.
Candace Owens : Décidé à répendre sa vérité
Fière de son succès, elle espère ouvrir les yeux des français. En effet, cette affaire commence à faire grand bruit et particulièrement à l’international. Effectivement, le Daily Mail a relayé cette affaire et Candace Owens ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. En effet, cette dernière a réitéré ses folles accusations dans une nouvelle vidéo.
Candace Owens publie un deuxième épisode du #brigittegate. L’affaire commence à prendre une dimension internationale par la multiplicité des relais aux États-Unis.
(Nouvelle France)#JeanMichelTrogneuxgate #JeanMichel #BrigitteMacron pic.twitter.com/2y2E7Zypjt
— Décryptons (@decrypt_reflex) March 15, 2024
De surcroît, le point d’orgue, au-delà de tous ses éléments qu’elle considère comme étant implacables, ont une solution très simple :
« Juste montrez nous les photos »
Selon Candace Owens, l’absence et la non-volonté de Brigitte Macron a montré des photos d’elle jeune suffit à la rendre coupable.
