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Si vous suivez les stars de téléréalité sur les réseaux sociaux, le visage de Magali Berdah ne vous est sûrement pas inconnu. Pour cause, il arrive parfois que les candidats s’affichent à ses côtés. Et ce, non seulement parce qu’ils sont amis avec elle, mais aussi car la jolie blonde est ou était, pour la plupart, leur boss. C’est notamment le cas des têtes d’affiches des Marseillais comme le couple Julien et Manon Tanti, Maeva Ghenam, Nabilla Vergara et tant d’autres encore.
Magali Berdah, dans le collimateur du Fisc
Fédérant des millions d’abonnés sur Instagram, ils travaillent notamment en collaboration avec Shauna Events, une agence de communication qu’elle a créée en 2017. Et ce, pour les mettre en relation avec les marques dans le cadre des placements produits. Un business juteux qui a permis aux deux côtés de gagner beaucoup d’argent.
Cependant, dernièrement, les récentes polémiques concernant les pratiques commerciales douteuses dans le monde de l’influence (arnaques, dropshipping…) ont fortement impacté les caisses de chacun.
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Pour le cas de Shauna Events, une enquête a d’ores et déjà été ouverte pour pratiques commerciales trompeuses. Concernant sa fondatrice, celle-ci n’est décidément pas prête à sortir de la tourmente. La raison ? Outre la baisse du chiffre d’affaires de sa société et le cyberharcèlement dont elle est victime, Magali Berdah doit aussi rendre des comptes au Fisc.
En effet, selon les informations rapportées par Le Parisien, la cousine de Capucine Anav doit une somme de 541 823,36 euros au Trésor public. Dans ses colonnes, le journal explique notamment :
« Cette décision, datant de mai 2022, est devenue définitive la semaine dernière quand la dirigeante a renoncé à faire appel. »
Le salaire de Magali Berdah : plus de 10 000 euros mensuels
Pour information, en 2018, l’agence Shauna Events a été rachetée par Banijay qui, récemment, l’aurait vendu pour 1 euro symbolique toujours selon Le Parisien. Pour revenir à l’histoire avec le Fisc, en 2019, ce dernier a enjoint la société et sa dirigeante à payer la modique somme de 1 253 230, 29 euros.
Celle qu’on surnomme la papesse de la téléréalité décide alors de régler une partie de l’ardoise, soit la somme de plus de 580 000 euros.
Un an plus tard, soit le 21 juillet 2020, le Fisc décide de réclamer le reste : 670 136,95 euros. Seulement voilà, cette fois-ci, la chroniqueuse de Touche pas à mon poste a pris du retard dans le paiement.
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Le Fisc a alors demandé à l’agence de prélever le reliquat directement sur le salaire de Magali Berdah. Et toujours selon les informations du Parisien, il dépasserait les 150 000 euros annuels. De ce fait, la mère de famille gagnerait plus de 10 mille euros mensuels.
Si au départ, Magali Berdah voulait faire appel de cette décision, elle a finalement accepté de payer ses dettes auprès du contribuable.
Toujours dans les colonnes de Parisien, la compagne de Stéphane Teboul a déclaré :
« C’est la preuve de ma bonne foi. Si j’ai des impôts à payer, je les paye, se défend, par téléphone, la patronne. J’ai déjà réglé les trois quarts de la somme et je paierai le reste. Je n’ai aucun conflit avec les impôts. »
Elle porte plainte contre Twitter
Et d’ajouter :
« J’ai toujours été fiscalement française, je suis fière de payer mes impôts en France. Je ne me suis pas exilée à Dubaï comme beaucoup l’ont dit. »
Décidément, ces derniers temps, la vie de Magali Berdah est un véritable enfer. Il faut rappeler qu’en plus de ses problèmes avec le Fisc, elle doit également endurer les piques à répétition du rappeur Booba.
Effectivement, depuis quelque temps, celui qu’on surnomme le DUC à décider de faire de Magali Berdah son souffre-douleur. Et ce, dans son combat contre les « influvoleurs ». Des attaques qui accompagnent de nombreux messages haineux venant des internautes sur Twitter.
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Depuis un an, elle affirme avoir reçu plus de 120 000 messages de haine, dont plusieurs centaines sont de Booba. Ce qui l’a poussé à porter plainte contre le réseau social qu’elle dit n’avoir engagé aucune action pour mettre un terme aux violences. Elle a déclaré :
« J’ai déposé plainte contre Twitter pour complicité de cyberharcèlement. L’impunité de certaines plateformes ne peut plus durer. »
Ajoutant :
« Cette plainte, je ne la dépose pas qu’en mon nom, mais au nom de toutes celles et tous ceux qui sont victimes de la haine en ligne au quotidien. Loin d’être virtuelles, les cyberviolences ont des conséquences bien réelles, qui peuvent être dramatiques. »
Souhaitons-lui bonne chance dans sa démarche !