Vincent Lacoste en 4 histoires improbables

Alors que Vincent Lacoste va prêter sa voix au prochain film Pixar, Il était une pub vous propose 4 anecdotes pour mieux le cerner.

© Getty Images

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À 29 ans, le jeune acteur n’a plus à voir avec l’adolescent chétif de ses débuts. En quelques années, Vincent Lacoste a su devenir un visage incontournable du cinéma français. Sur grand écran, il a donc multiplié les personnages, du collégien complexé dans les Beaux Gosses, au médecin débutant, il a su faire ses preuves face au public. Désormais considéré comme un comédien accompli, il sera à l’affiche d’Un métier sérieux, au côté de la belle Adèle Exarchopoulos. Même, il donnera également la réplique à l’actrice par le doublage, dans le dernier Pixar, intitulé Élémentaire. Pour vous permettre de mieux connaître cette vedette, Il était une pub revient sur 4 histoires saugrenues à son sujet.

Vincent Lacoste a commencé sa carrière par hasard

Dans les années 2000, l’auteur de bande dessinée Riad Sattouff a accepté d’adapter son livre, les Beaux gosses au cinéma. Ainsi, dans plusieurs sessions de repérage ont eu lieu dans des collèges, afin de dénicher des profils, pour incarner les personnages du film. Vincent Lacoste se souvient qu’un homme avait installé un stand dans le réfectoire de son établissement scolaire, dans le but de recueillir des candidatures. Ce jour-là, le garçon n’a pas donné son nom. En revanche, l’un de ses amis a tenté sa chance. Finalement, en apprenant que son camarade devait se rendre à une audition, il a choisi d’essayer intégrer le casting aussi.

Vincent Lacoste
Vincent Lacoste et Anthony Sonigo en 2010 – Crédits Photos : Getty Images

On connait la suite : le jeune Vincent Lacoste a eu la chance d’obtenir le rôle, et ce même sans avoir d’expérience dans la comédie. Ce personnage d’adolescent boutonneux a totalement changé le cours de sa vie, et lui a ouvert de nombreuses portes.

Il a côtoyé des étudiants en médecine pour potasser l’un de ses rôles

Parmi les rôles cultes de Vincent Lacoste, dans Première Année, on retrouve Antoine, un garçon qui tente le concours d’entrée en faculté de médecine. Après avoir incarné un jeune interne en 2014, dans Hippocrate, l’acteur a repris le chemin de l’université pour tenir ce rôle en 2016. L’objectif ? Rencontrer des étudiants, recrutés en tant que figurants sur le film. Ces jeunes lui ont aussi transmis leur expérience, ce qui lui a permis d’enrichir sa performance d’acteurs. À la rencontre de ces futurs médecins, le comédien a pu se faire une idée de leur quotidien, et notamment de la forte pression qu’ils ressentent à l’approche de leurs examens.

Vincent Lacoste, ivre durant les Césars 2022 ?

Après cette prestigieuse cérémonie, qui a eu lieu l’an dernier, le jeune homme a reçu de nombreuses critiques. En cause ? L’allure étrange qu’il avait, en montant sur scène pour récupérer sa récompense, le césar du meilleur acteur dans un second rôle, pour son apparition dans Illusions perdues. Étonnés par sa posture et son élocution, certains n’ont pas hésité à conclure rapidement, que Vincent Lacoste avait surement un coup dans le nez. Le comédien a toutefois réagi à ses accusations. Il réfute avoir bu trop d’alcool, et indique qu’il a simplement ressenti beaucoup trop de joie.

« J’étais trop heureux. Je ne sais pas ce que pensent les gens de ces images. (…) Mais ça se voit que je suis content. J’étais ultra heureux. »

 

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Pris pour une femme, l’acteur a subi des attouchements

En 2014, Vincent Lacoste et William Lebghil tenaient les rôles principaux dans Jacky au royaume des filles. Dans ce film décalé, les femmes ont le pouvoir, et les hommes vivent comme des citoyens de seconde zone, sous le règne d’un colonel despotique (Anémone). Pour les besoins de l’intrigue, Vincent Lacoste a dû tourner plusieurs scènes en incarnant une jeune fille. À sa grande surprise, son déguisement a suffi à duper un individu, qui n’a pas hésité à lui toucher les fesses sur le tournage.

« C’est mon Me too, dans une scène j’étais en femme, assez belle d’ailleurs… En effet, je sentais qu’on me touchait un peu le c**… Je pensais que c’était un assistant qui me faisait un top (…) en fait c’était un gars qui me touchait vraiment le derrière ! »

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