Savez-vous comment le premier mascara moderne est né ? En 1913, un certain chimiste du nom de T.L Williams a vu sa sœur mélanger de la poussière de charbon dans de la vaseline. Cette dernière répondante au doux nom de Maybel, ce génie hors pair décide de fusionner son prénom avec le nom vaseline pour donner : Maybelline. Près de 100 ans plus tard, ce produit cosmétique n’a pas changé dans sa fonction première. À savoir allonger et donner du volume aux cils. Aujourd’hui de nombreuses formules existent sur le marché, et vous avez même l’embarras de la couleur. Cela dit, avec l’allongement des ingrédients, certains se sont révélés nocifs pour la santé. Comme l’indiquent 60 millions de consommateurs pour deux célèbres marques. On vous fait le point.
Quels sont les mascaras à éviter ?
Deux marques se sont retrouvées dans le collimateur de l’association. Effectivement, celle-ci n’hésite pas à dénoncer lorsque des normes de sécurité ne sont pas respectées. Hors ici, ce sont des composés industriels qui se trouvent pointés du doigt. Ainsi, le premier est :
- Le mascara Rimmel London 90 Scandal Eyes Reloaded
Parmi les 34 ingrédients présents, on dénote des polymères synthétiques. Un ingrédient tout sauf anodin puisque allergène, irritant, voire toxique pour les muqueuses. Précisément ce qui compose un œil. Pour le second épinglé par l’association, il s’agit du :
- Mascara Bourjois Volume Glamour, Effet Push Up
Là aussi, sa composition est remise en cause. Le BHT (butylhydroxytoluène) qu’on y retrouve fait l’objet de lourds soupçons. À charge contre lui, une capacité d’être un perturbateur endocrinien. Bien sûr, il ne s’agit des seules références disponibles sur ce marché ultraconcurrentiel. Ainsi, il existe pléthore de sites vous permettant de décrypter les liste d’ingrédients. Comme zenziscope.fr ou encore safetymakeup.fr