Cosmétiques : l’UFC-Que Choisir alerte les consommateurs sur ces substances toxiques pour leur santé

S'acheter un nouveau shampoing ou une nouvelle crème peut vous êtes ironiquement dommageable sur le long terme. On vous explique pourquoi.

En cosmétique comme dans le secteur de l’alimentaire, les listes d’ingrédients font peur à voir. En effet, pour le second, ces derniers servent à garantir un certain esthétisme au produit. Tout en préservant un aspect uniforme, qu’importe la matière première. Cela dit, pour les produits de beauté, le principe est plus ou moins le même. Cependant, à une différence près. Les principes actifs d’un produit restent ce qu’il y a de plus cher dans les cosmétiques.

Ainsi, les fabricants ont pris l’habitude d’y ajouter des silicones dans le cas des shampoings par exemple. Ce dérivé de pétrole créera une pellicule autour, lui donnant un aspect brillant. Toutefois, sans aucun bienfaits pour celui-ci. Pour éviter l’abus de ces ingrédients chimiques, l’Union européenne a mis en place des décrets. Notamment, en ce qui concerne certains. Qui au-delà de présenter un danger pour le consommateur, sont un danger pour l’environnement. Néanmoins, leur coût fait qu’on en retrouve encore dans certains cosmétiques. À ce sujet, UFC-Que choisir a décidé d’alerter ce 8 novembre.

L’UFC-Que choisir met en garde sur certaines cosmétiques

Selon l’association, L’Agence européenne des produits chimiques (European chemicals agency [Echa]) aurait contrôlé plus de 4700 cosmétiques. Leur conclusion ? 6,4% d’en eux contiennent des substances toxiques pour l’homme et la nature. Bien que les produits ne soient pas directement français, les achats sur internet permettent de contourner cette limite. Ainsi, l’UFC-Que choisir met en garde contre le perfluorononyl dimethicone. Lequel étant un dérivé de silicone, trouvable dans les produits Kiko.

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De même quel est le point commun entre : déodorant, huiles capillaires, crèmes hydratantes, maquillage ? La présence avant 2020 de cyclopentasiloxane. Aujourd’hui interdit dans les produits rincés, il devrait être totalement proscrit dès 2027. Rinçage ou pas. Pour vous aider dans votre déchiffrage d’ingrédients, l’UFC-Que choisir a lancé son application Que choisir. Sinon, vous pouvez vous orienter vers le célèbre Yuka.

Sources : quechoisir.org

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