Automobilistes : qu’est-ce que les « dents du dragon » ?

Dernière le nom impressionnant de dents du dragon se cache en réalité un système non invasif pour les usagers de la route. On vous explique.

Les automobilistes n’ont pas la vie facile. En effet, les autorités ont la dent dure face à la vitesse adoptée par certains… Et on peut les comprendre. Effectivement, ce comportement à risque encore de nombreux morts sur nos routes. Emportant avec elle, celle de moult innocents et provoquant des drames familiaux. Dans cette mesure et surtout pour pallier le pire, les règles se durcissent d’années en années. Ainsi, les sièges enfants obligatoires pour les automobilistes ayant des marmots ont fait face à un changement de législation. Adoptant une lisibilité plus claire pour les acheteurs. Aussi, pour les franciliens, le périphérique devrait passer à 50 km/h sous l’impulsion d’Anne Hidalgo. Mais le reste de la France n’est pas pour autant épargné. Pour les plus montagnards de l’hexagone, les pneus neige devront se conformer à une nouvelle norme dès le mois de novembre. Cela dit, pour garantir la sécurité de tous, l’État va aussi s’inspirer de ce qui se fait chez ses voisins. On vous fait le point.

Automobiliste : méfiez-vous des dents du dragon

9 ou 17. Les dents du dragon ne se présentent que par paires, en série de 9 ou 17. L’objectif des dents du dragon ? Imposer leur présence sur la chaussée afin de forcer les automobilistes à ralentir. Comment ? En créant une illusion d’optique sur les côtés de la route. Ces dernières donnant l’impression qu’elle se resserre. Forçant, de fait, les automobilistes à ralentir en leur présence.

En outre, elles présentent l’avantage de ne pas créer de reliefs sur la route. En effet, les dos d’âne ont souvent la fâcheuse tendance à ne pas respecter les normes de hauteur maximale. De plus, par leur nature, les dents du dragon ont un coût d’installation moins important. Par ailleurs, suite aux tests effectués en Espagne et au Québec, les autorités françaises s’apprêtent à en faire de même en France.

Sources : lavoixdunord.fr

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