À l’ère des réseaux sociaux et autres moyens de communications, les méthodes d’arnaque pullulent. Ainsi, entre le phishing qui s’occupe de vous soutirer vos informations personnelles par e-mail. Ou encore le smishing dont le principe est le même, mais par SMS. Face à l’ampleur du phénomène, l’État a fini par intervenir auprès des opérateurs. Ainsi, une nouvelle réglementation a été mise en place dès le 1ᵉʳ octobre prochain. Cela dit, les témoignages d’arnaque continuent d’affluer sur la toile. Prouvant, de fait, que la vigilance est une rigueur de tous les instants. Et en la matière, un petit nouveau souvent mal connu se montre diablement efficace. Il s’agit du Wangiri. On vous explique.
Arnaque : quid du Wangiri
Derrière ce terme japonais se cache une arnaque plutôt simple. Vous recevez un appel d’un numéro de téléphone inconnu, qui raccroche immédiatement après que vous avez décroché. Piqué dans votre curiosité, vous décidez donc de rappeler… Grave erreur ! Le numéro est automatiquement surtaxé, vous volant au passage de précieux euros.
Les opérateurs de leur côté peuvent tenter de bloquer ces numéros suspects. L’autre moyen reste de simplement s’abstenir de décrocher lorsque vous n’en connaissez pas l’origine. Dans cette mesure, la personne en question tentera de vous envoyer un SMS, voire vous laissera un message vocal. Évitant ainsi tous désagréments.
En outre, en matière d’arnaque, des règles simples sont à appliquer et sont valables partout. Ainsi, les banques ne vous demanderont jamais vos codes de cartes bancaires par téléphone. De plus, vos identifiants et mots de passe personnels ne doivent en aucun cas être divulgués.