Alex Goude se livre sur la polémique qui lui a fait quitter TPMP : « J’ai tellement pris cher »

En septembre dernier, Alex Goude faisait partie des nouvelles recrues de Cyril Hanouna. Cela dit, il n'a pas eu le temps de s'éterniser dans le programme...

Depuis quelques semaines, la saison 2023/2024 de TPMP a pris fin sur C8. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que le talk-show de Cyril Hanouna a encore réussi à faire couler beaucoup d’encre. Surtout avec l’actualité politique qui a marqué le printemps et l’été 2024. Or, Alex Goude, lui, n’a pas pu rester toute l’année à l’antenne. Alors qu’il faisait ses débuts en tant que chroniqueur du programme, il a vécu une énorme polémique.

En cause ? Une séquence ayant eu lieu sur le plateau de TPMP. Tandis qu’il se déhanchait auprès de Valérie Benaïm, sa main a été filmée touchant les fesses de cette dernière. Il a justifié ce geste en évoquant un accident. D’ailleurs, Alex Goude a pu compter sur le soutien de la chroniqueuse, qui a cru en sa bonne foi. Mais l’affaire a déclenché un tollé. Il explique avoir voulu faire valser sa collègue… Sans réaliser ce qui se passait devant les caméras. Face à Sam Zirah, il a accepté de revenir sur cet épisode, vendredi 19 juillet, sur YouTube.

« Je n’ai pas fait Danse avec les stars. (…) Dès que j’essaye de danser, de vouloir faire des portés ou des machins, bah, je n’y arrive pas. (…) J’ai voulu faire un mouvement un peu sympathique, un peu envolé, on va dire ça comme ça. (…) Sauf qu’après, en bougeant et compagnie… »

Alex Goude après le scandale

L’extrait montrant sa maladroite chorégraphie a beaucoup fait réagir le public. En voyant sa main frôler le postérieur de Valérie Benaïm, beaucoup ont estimé qu’il s’agissait d’une attitude problématique. Et même si la première intéressée ne semblait pas en vouloir à Alex Goude… Le malaise a pris le dessus.

« Ça a pris des proportions terribles. (…) Quand tu vois l’image, tu comprends que ça choque, donc tu ne peux faire que t’excuser. »

L’ex-chroniqueur de TPMP se dit néanmoins bouleversé par la violence de certains internautes.

« Après, tu te dis… L’excès dans lequel ça va, avec ma mère qui finit à l’hôpital. Parce qu’elle a été voir sur Twitter. (…) Les menaces de mort. Les demandes d’emprisonnement. (…) On m’a traité de violeur. Les mots ont des sens quand même. »

En plus de toucher son moral et son poste sur C8, la polémique a affecté ses partenariats commerciaux  :

« Non mais attends, c’était horrible. (…) Pour les gens avec qui je travaille. Je suis égérie de plein de marques. De Micromania (…) De Ferrero. (…) C’est un bad buzz, c’est très compliqué. »

De cette mésaventure médiatique, Alex Goude dit avoir tiré trois enseignements :

« 1, Je ne tenterai plus de danse osée, avec des copines ou pas des copines (…) 2, Faut faire attention à ce que tu fais quand même quand tu passes en direct à la télé (…) 3, les réseaux sociaux. Me bagarrer pour qu’on arrête avec cet anonymat. »

En effet, victime de haine en ligne, le père de famille a tenté de déposer plainte. Mais ses harceleurs paraissent impossibles à identifier. Cette période a donc forcément eu des impacts sur son mental.

« J’ai eu des idées noires. Vraiment très très noires. Heureusement, j’ai mon fiston. (…) Non parce qu’à un moment tu te dis : ‘Tout s’écroule, mon monde s’écroule’. »

Il est vrai que par rapport à d’autres chroniqueurs de TPMP (comme Jean-Michel Maire…), Alex Goude n’a pas eu droit à l’erreur.

« Ce qui est dingue, c’est que c’est que c’est une émission où il y a eu mille fois pire. (…) Mais c’est pas grave, ça passe, c’est les autres. »

Toujours blessé, il n’en veut pas à son ancien patron. Qui lui a même proposé de revenir à l’antenne quelque temps après le scandale.

« Cyril a été adorable. Mais en fait, je peux pas. J’ai pris tellement cher. »

Si cette période a été éprouvante, Alex Goude n’en sort pas brisé. Il sait maintenant sur quoi se concentrer.

« Je fais des trucs que je sais faire, que j’aime faire. Là je reviens au théâtre. »

Il révèle néanmoins que cette tourmente médiatique lui a fait envisager un changement de carrière radical. Avant qu’il ne se ravise.

« Je me suis dit : ‘je vais arrêter, je vais élever des chèvres dans le Larzac’. »

 

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