Ces derniers mois, la reine de beauté a longtemps annoncé ses noces avec le célèbre entrepreneur. Et pour cause : Diego El Glaoui l’avait demandé en fiançailles à l’été 2022, sur les bords du lac de Côme. Mais finalement, le couple a récemment officialisé sa séparation. Un changement qu’Iris Mittenaere assume sans complexe. Mais qui, forcément, soulève des questions quant à ce qui l’attend dans les prochaines années.
Outre sa vie amoureuse, la jolie brune a un planning très chargé. Après avoir brillé dans Danse avec les stars il y a quelques années, elle a même eu l’occasion de devenir meneuse de revue. Durant l’hiver 2023, elle faisait même partie du jury de Miss Univers 2023. En parallèle, Iris Mittenaere joue aussi les égéries pour de nombreuses marques. Et pourtant, elle rêve aussi de connaître les joies de la maternité. Un projet reporté pour l’instant. Sur lequel elle a accepté de se confier…
Iris Mittenaere se voit déjà mère de famille, mais elle reste sereine
Malgré ses nombreuses activités, et sa séparation toute récente, la jeune femme le sait : elle aura des enfants. Dernièrement, elle a accordé une interview à Louise Aubery (autrefois connue sous le pseudo My Better Self). Installée face à la youtubeuse, Iris Mittenaere reconnaît que, comme beaucoup de femmes, elle a eu un sentiment d’angoisse et d’urgence face à la maternité. Et pour cause : on leur rappelle sans arrêt que le temps file, et que la ménopause les guette.
« Moi, je le ressens vachement. Je me suis séparée à 31 ans. (…) Même moi, je me la mets cette pression du temps, tu vois. Parce que… On grandit comme ça. En projetant des trucs. En se disant ‘Ah je vais me marier, après je vais avoir mes enfants machin’. Et en fait tu vis ta vie. Et en fait t’arrives à 30 ans et t’es là… Bah non du coup ! »
Pour autant, Iris Mittenaere reste positive. Et pour cause : de nos jours, les femmes ont des moyens d’anticiper la ménopause. Et de prendre des mesures afin de décaler sereinement leur grossesse. En effet, ainsi que Louise Aubery le rappelle dans cet entretien : la congélation d’ovocytes existe. Il s’agit d’un procédé simple et remboursé par la Sécurité sociale. À réaliser entre 29 et 37 ans. De quoi vivre sa vie sereinement. D’ailleurs, Iris Mittenaere n’a pas laissé son désir d’enfant effacer ses autres priorités. Elle préfère aller à son rythme, plutôt que se dépêcher par crainte.
« Ma plus grande peur c’est d’être seule sans enfant. Bah, tu sais quoi ? Avant déjà, je vais être bien avec moi-même. Avant de chercher d’autres trucs. »