INTERVIEW – Stan Rittner (Star Academy) dévoile son dernier single, À l’italienne

Presque 6 mois après son premier single, Stan Rittner a accepté de nous présenter son tout nouveau titre : À l'italienne.

© Instaram - @sr_stanislas et @scotthillier

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Révélé à l’automne 2022, dans la saison 10 de la Star Academy, cet artiste fête aujourd’hui son 26ème anniversaire ! Il y a quelques jours, il a accepté de nous accorder une nouvelle interview. Après nous avoir présenté son premier titre Qui tu es, en juin dernier, il nous parle cette fois-ci de son deuxième single, intitulé À l’italienne. Écriture, mélodie… Stan Rittner nous a expliqué comment cette chanson a vu le jour, dans les moindres détails. Un an après avoir quitté le château de Dammarie-les-Lys, il réserve aussi quelques surprises à ses fans. On fait le point !

L’histoire derrière la nouvelle chanson de Stan Rittner

Bonjour Stan Rittner. Après Qui tu es, sorti avant l’été 2023, comment définirais-tu ce nouveau single, À l’italienne

“Je dirais que dans ce single, il est toujours aussi authentique, toujours aussi rétro que le premier. On a été un dans un côté un peu plus ‘smooth’. C’est l’image que j’aime bien donner. On s’est vraiment inspiré d’Imagination [le groupe de post-disco fondé par Leee John, Ashley Ingram et Errol Kennedy en 1981], que j’adore, que j’aime beaucoup. Du coup, on a été jusqu’à utiliser les mêmes claviers que ceux utilisés par le groupe. Tout ça, c’est vrai qu’on le retrouve dans le refrain. »

Le chanteur précise toutefois qu’il a explorer un autre style dans À l’italienne :

« J’avais envie de changer un peu la rythmique. D’être sur quelque chose d’un peu plus lent. C’est légèrement plus lent, mais toujours entraînant. On est sur une chanson qui est un peu mélancolique. Après la rencontre avec Qui tu es, là on est sur la rupture. Mais je voulais quand même que les gens puissent danser sur cette chanson de rupture. Et la chanter avec le sourire. Et je pense que c’est ce que j’ai réussi à faire. Du moins, je suis très content.”

Lors de notre dernier entretien, Stan Rittner nous avait révélé sa collaboration avec Otta, l’auteur-compositeur-interprète révélé dans The Voice 10. Comment a eu lieu le processus d’écriture ?

“J’ai commencé à écrire cette chanson, toujours avec Otta, la même personne avec qui j’ai écrit Qui tu es… Pour cette chanson, moi, je lui ai dit ‘Écoute, là, j’ai envie de parler de ce qui m’arrive dans la vie’. Parce que c’est ce qui m’arrivait à ce moment-là. J’étais en pleine période de rupture. En fait, j’ai pris du recul sur ce qu’est une rupture en général. Et je me suis dit, ‘C’est fou comme on peut vivre quelque chose de très fort… Puis en un rien de temps, en l’espace de deux jours, on peut s’en aller. Et partir, sur un coup de tête. Ou parce que ça ne fonctionne plus.’ Ça m’a fait penser au film Braquage à l’italienne. »

Il évoque donc une séparation, en restant dans un registre assez léger :

« Tu arrives, tu prends tout… Et hop, tu repars. D’où le titre, À l’italienne. On est donc partis de cette idée, d’arriver, de vivre quelque chose, avant de repartir aussi vite. Et c’est comme ça que tout est né… Assez simplement, rapidement. On a trouvé le refrain assez vite. Il y a des couplets qui sont les miens, d’autres qui sont les siens [ceux d’Otta]. Je suis vraiment parti sur le thème…”

Une douce chanson de rupture

Il s’agit donc d’un morceau qui trouve ses origines dans le vécu de Stan Rittner. Pour autant, il ne se  limite pas à sa propre expérience. Au contraire, il aborde le sujet de la séparation, en mettant en avant les deux versions d’une même histoire. Une manière de dédramatiser un évènement difficile.

“Dans la chanson, je commence en disant ‘je veux m’évader comme Pablo Escobar.’ Parfois, on reste dans cette complainte, on reste dans une relation… Alors qu’il faudrait juste prendre l’initiative, se dire ‘ il faut y aller.’ Et il ne faut pas avoir peur de ça. Ce que je voulais raconter à travers la chanson. Parfois, le problème vient des je t’aime. Tu vis tout ça, tu penses que tout va bien et en fait rien ne va plus. Il faut juste savoir prendre du recul. C’est pour ça que dans le deuxième refrain, je modifie un peu les paroles. En disant ‘le problème vient des je t’aime’. Sur le premier refrain, je m’inclus moi, ma vision de la chose. Dans le deuxième refrain, je nous inclus, la personne et moi. Je trouve ça intéressant d’avoir les deux points de vue. Ce n’est pas juste moi, c’est nous.”

Des mélodies et des sonorités rétros dans À l’italienne

Pour Qui tu es, Stan Rittner avait collaboré avec l’artiste belge, Dabeull et son équipe. Mais comment a eu lieu l’enregistrement de ce nouveau titre ?

“Là, c’est encore eux ! Ils ont fait un super travail. Ils travaillent beaucoup à l’ancienne avec des vieux claviers. Là, le clavier principal qu’on a, sur la ligne de basse, on appelle ça un minimoog. C’est un vieux clavier des années 1970/1980, qu’on trouve très peu. Et comme ils connaisse nt pas mal d’instrumentistes, ils se prêtent les claviers entre eux. C’est assez drôle. Par exemple, ils vont avoir un clavier pendant 6 mois, sur cette période ils travaillent avec, ils en profitent. Et j’ai eu de la chance, pendant cette session où je suis monté enregistrer le son, d’avoir ce petit clavier, minimoog. Et de pouvoir l’utiliser. »

Des instruments qui apporte au single, un style typique des années 1980.

« C’est exactement cette sonorité qu’on retrouve dans le refrain. Ça fait penser à Imagination, vraiment, justement parce que c’est la même sonorité. Pour cette chanson, on est quand même resté sur quelque chose de pop. Je leur ai dit que je voulais qu’on essaie d’avoir une ligne de basse assez simple. Parce que ce sont des virtuoses, qui aiment la complexité. Mais des fois, il faut aussi cadrer la complexité, pour que ça puisse aussi parler au grand public. Du moins, pour garder un côté très pop.”

En plus du groupe Imagination, Stan Rittner a aussi puisé l’inspiration auprès d’un célèbre artiste et producteur britannique

“Quand tu écoutes la chanson, il y a comme une espèce de reverb [NDLR : effet de mixage permettant la persistance d’un son, après l’arrêt de la source sonore]. Qui donne un mood, sur toute la chanson. C’est un choix délibéré. On s’est inspiré du titre de Phil Collins, In the air tonight.Quand il commence, il chante seul, et puis il y a une reverb de malade sur cette chanson. Comme s’il était loin. Ça donne un côté très mélancolique. »

Il a donc intégré le même procédé sur son dernier single :

« Voilà pourquoi on a porté notre choix sur la même reverb que lui. Avec de grosses machines, des années 1980, pour le traitement des voix. On a fini, à la toute fin avec un petit solo de piano, de son associé Rude Jude. Il l’avait déjà fait à la fin du single Qui tu es. Et cette fois-ci, pour À l’italienne, il a fait pareil, une sorte de petite signature sur le morceau. Franchement, j’aime beaucoup le rendu.”

Stan Rittner a beaucoup fait évoluer ce morceau

“Cette chanson a eu plusieurs versions. Il y en a eu avant, des bien différentes. Qui étaient très lentes. Et qui étaient aussi dans un autre mood, vraiment ça changeait complètement. Finalement, on a opté pour quelque chose de plus rythmé. Avec un BPM à 105. Ni trop rapide, ni trop lent. Et je trouve que ça fonctionne super bien. Et je garde ma petite note vocale, dans les refrains, où je pars très haut, avec un début très rapide. Il faut bien se concentrer quand on écoute le refrain. Il faut tendre l’oreille, j’ai ma signature vocale, qui monte dans les aigus. Comme dans Qui tu es. Sur le premier single, c’était ‘Et j’allais tomber dans tes bras. Sur celui-ci, ça continue dans cet esprit-là.”

Stan Rittner invite également le public à tendre l’oreille, en écoutant ce deuxième single.

“On trouve plein de petites choses dans ce morceau. Sur le refrain par exemple, on a des petites distorsions aussi. On a utilisé un clavier, avec des petites molettes, sur le côté, qu’on actionne quand on joue une note. En touchant la molette, ça crée une distorsion, et on l’a gardée dans le refrain. Ce qui évoque beaucoup la musique d’Imagination.”

Autour de la chanson….

Lors de notre précédente interview, vous nous aviez parlé du tournage du clip Qui tu es avec beaucoup d’enthousiasme. Stan Rittner, faut-il s’attendre à découvrir un clip pour À l’italienne ? 

“Je suis en train de préparer un teaser pour les réseaux. J’ai envie de faire un teasing pour la sortie du son. Avec une approche un peu différente, dans un esprit vintage et en même temps, dans le monde actuel. Un peu comme si Stan Rittner arrivait dans notre époque, mais après avoir été transporté d’un autre temps. Je trouve ça cool, ce côté Retour vers le futur. Je vais réfléchir, je dois tourner cette semaine un teaser que je mettrai sur mes réseaux. Avec aussi l’esthétique À l’italienne. »

Bien sûr, Stan Rittner a également soigner l’esthétique qui accompagne cette chanson :

« J’ai créé le costume, avec un de mes stylistes. Et c’est de la récup’, des pièces vintage… Par exemple, la chemise, on la voit sur la pochette, y a un bisou sur le col. C’est un vrai bisou. Sur toute la chemise, il y a de vrais bisous, qu’on a faits nous-même. Ce qui permet de faire comprendre la situation du personnage dans cette chanson. Le gars qui part voir ailleurs, comme un tombeur italien.”

Stan Rittner
Stan Rittner, en bourreau des cœurs – Crédits Photos : © Stan Rittner

Effectivement, on n’attendait pas forcément l’ancien académicien dans ce rôle de séducteur, un brin macho. Mais Stan Rittner assume ce parti pris artistique. 

“Là, on est dans le personnage. Je me suis dit, il faut le jouer à fond, le côté à l’italienne. Forcément, il y a eu quelques complications, parce que je suis toujours indépendant. Il faudrait trouver des voitures anciennes… Mais pour le clip, j’ai des idées. Je suis entouré de certaines personnes, qui m’ont proposé de le faire. Là, je vais y réfléchir, peut-être qu’il y en aura un, ou peut-être pas du tout. Puisqu’en parallèle, je réfléchis à pas mal de choses, musicalement parlant. Notamment à m’aiguiller vers un style un peu plus crooner. En restant, dans un univers rétro, disco… Mais plus à voix. »

Il se réserve la possibilité de faire évoluer sa musique par la suite.

« Je réfléchis, je pense que c’est aussi ça la beauté de la musique. De pouvoir se chercher. Là, sur les deux premiers sons, j’ai fait quelque chose de très funky, très rétro. Je veux y rester, tout en mettant la voix en valeur. Avec des sons plus simples. Et je continue d’écrire des chansons, qui sont déjà prêtes. Et j’essaie de trouver des nouvelles collaborations artistiques. Je travaille super bien avec Dabeull et son équipe. Mais je ne veux pas m’enfermer dans un style. Je veux aussi m’ouvrir à d’autres personnes, qui aimeraient travailler avec moi.”

En effet, Stan Rittner ne veut pas s’enfermer dans un genre musical. Son objectif ? Garder une touche vintage, tout en explorant de nouvelles choses.

“C’est un choix… Soit, on fait tout un album dans le même style, ce qui peut aussi être très sympa. Mais je me réserve la possibilité d’arriver avec des chansons axées sur le texte, la voix. Avec un côté crooner élégant, un peu extravagant. Un peu à la James Dean, mais pas seulement. C’est une image que j’essaie de trouver. Et même moi, je continue de tout faire pour me trouver en tant qu’artiste. J’ai ma direction artistique, mon univers. Mais j’essaie toujours de chercher quelque chose de nouveau, une tendance pour changer un peu. Je réfléchis à tout ça. Et ça se mettra en place le moment venu.”

La méthode de Stan Rittner

La première fois que nous avions échangé avec l’artiste, il venait tout juste de sortir son premier single. Tout paraissait nouveau, et il avait dû apprendre beaucoup de choses, en lançant sa carrière en solo. Or, désormais, Stan Rittner semble confiant, et bien décidé à poursuivre avec de nouvelles chansons dans les prochains mois.

“À l’italienne, a été écrite en même temps que Qui tu es. Je ne sais pas si ça a été plus facile. Mais on avait déjà la trame, on savait déjà où on allait. Ça a donc été plus rapide, plus fluide. En même temps, ce titre, on l’a écrit plus vite que le premier single. Des fois, tout vient naturellement, comme un collier de perles, tu as juste à enfiler les perles. Des fois, c’est un peu plus complexe. Tu te dis ‘Quelle perle je vais choisir ? Est-ce que c’est la bonne ?’ Et je pense aussi que c’est avant tout une histoire de confiance en soi. »

Stan Rittner
Stan Rittner vient de sortir son deuxième single – Crédits Photos : © Stan Rittner

« En tant qu’artiste qui débute, quand tu écris tes propres textes… Forcément, tu peux avoir très peur. Il y a ce questionnement sur le regard des gens. Est-ce que ça va être assez profond ? Ce sont tes mots, les gens aiment ou n’aiment pas tout simplement. Tu te dis ‘est-ce que je me lance ? Est-ce que ça fonctionne bien ?’ Il faut se faire confiance, se dire ‘Ok let’s go’. Et puis, il faut continuer. Il faut écrire, écrire.”

Cependant, comme beaucoup d’auteurs, Stan Rittner sait aussi qu’on en dit beaucoup sur soi lorsqu’on écrit un texte. Sur le papier comme en musique. 

“Parce que tu te livres… Ce sont tes mots, c’est toi. Tu te dis ‘Est-ce que j’ai choisi les bons mots ?’ Je suis un féru de langue française, de chanson française. Quand on voit comment ils écrivaient avant, et ce qu’on écrit aujourd’hui… Ça n’a rien à voir. On se dit qu’on a peut-être perdu une éducation, un niveau qu’on avait avant. Peut-être parce qu’ils parlaient beaucoup mieux à l’époque, avec un langage plus soutenu. Maintenant quand tu vois nos chansons… Elles sont super nos chansons françaises. Mais j’ai quand même l’impression qu’aujourd’hui, y a des choses un peu moins profondes. Bien plus légères.”

Les influences de l’artiste

Étant donné que le passé inspire beaucoup Stan Rittner, nous avons voulu en savoir plus sur les artistes qui l’ont marqué, en particulier grâce à leurs paroles

Je dirais Aznavour. Et même, encore plus loin, Charles Trénet. Pareil, pour celui qui chantait L’automne, Yves Montand. Ce sont des textes, quand tu les entends tu te dis, où l’auteur est parti chercher ça ? C’est beau. Mais t’as l’impression qu’on n’a plus du tout le même style. Même moi quand j’écris des chansons… Il ne faut pas se comparer, mais tu te dis que leur écriture était bien différente. Aujourd’hui, on peut perdre la poésie de la chose. Après, je ne dis pas que c’est général ou global. Il y a de jeunes artistes émergents qui ont de très belles chansons. Et en même temps, il faut de tout ! Des chansons légères, des textes parfois plus profonds… Ça fait du bien aussi.”

Stan Rittner
Le passé inspire beaucoup Stan Rittner – Crédits Photos : © Stan Rittner

Les projets de Stan Rittner

L’ancien académicien souhaite évoluer en tant qu’artiste complet. Sans forcément se cantonner à un seul univers musical. Ni même se limiter à la chanson. Lors de sa dernière interview, Stan Rittner se disait déjà tenté par plusieurs autres domaines. Notamment la mode et le cinéma. Visiblement, il est toujours décidé à avancer sur ces objectifs aussi. 

“Je continue les castings de cinéma, avec mon agence. Je continue à prendre des cours de danse et de théâtre. Et puis j’écris aussi, un moyen métrage. C’est une réelle thérapie pour moi. Ça raconte un peu mon histoire. Celle d’un jeune artiste qui arrive sur Paris, et qui fait face à la maladie de son grand-père. Tout ça me prend beaucoup de temps. Les journées sont bien rythmées.”

Alors que beaucoup de célébrités évitent soigneusement le sujet des partenariats commerciaux, Stan Rittner préfère jouer la carte de la transparence. Il choisit les projets qui lui conviennent, tout en travaillant sa créativité.  

“J’essaie de pousser aussi sur le côté mode que j’aime beaucoup, je m’en suis jamais caché. C’est un milieu très complexe, donc il ne faut jamais lâcher. Je commence aussi à faire quelques partenariats, des campagnes digitales pour des marques sur les réseaux. Pour vraiment allier le statut de créateur de contenus, tourné vers la mode et la musique. Je pense que tout peut se mêler de nos jours. Comme je le disais à mes abonnés, sur Instagram, en tant qu’indépendant, cet argent qu’on gagne grâce à la création de contenus, c’est aussi pour le réinvestir dans la musique. Je suis très content de découvrir ce milieu, parce que ça rejoint un peu le monde du cinéma.  Quand j’ai une campagne digitale, je propose un scénario à la marque. C’est comme un petit film, même si c’est un réel de 1 minute 10, je me donne vraiment.”

Le chanteur assume son choix

Comme beaucoup d’artistes, Stan Rittner tire ses revenus de ses cachets. Pour lui, participer à des campagnes digitales permet aussi de compter sur des fonds, afin d’investir pour ses futures chansons. 

“Quand tu commences à avoir une communauté, tu peux vite te faire juger. Parce que tu commences à faire de la création de contenus. Parce que les gens se disent que tu gagnes énormément d’argent. En réalité, ça nous permet de vivre sur plusieurs mois, on ne dépense pas tout en une fois. Je pense que c’est important de l’expliquer aux gens. Je ne suis pas là pour vendre un code promo pour un produit qui rend les dents blanches. »

À l’avenir, l’artiste ne compte pas renoncer à ses activités en ligne :

« Je fais des choses qui me plaisent, qui sont dans l’ADN de qui je suis. C’est moi qui scénarise les contenus. Je pense que tout se rejoint. J’ai eu cette discussion avec des gens du milieu de la musique. Ils me disaient ‘Soit tu fais de la musique, soit tu fais d’autres choses.’ Mais pour moi, tu peux faire un peu les deux. Tu peux être un artiste, et créer des contenus, t’intéresser à la mode.”

Face au public

Si Stan Rittner n’a pas encore de dates précises à annoncer pour ses prochains concerts, il nous a tout de même confié qu’il aurait l’occasion d’aller à la rencontre des fans.

“Je pense que je vais aller faire plusieurs showcases dans quelques semaines. Notamment pour tester mes sons sur scène.”

Même si le jeune homme a quitté la Star Academy, il y a des mois, il fait de nombreux ajustements dans son quotidien. En effet, beaucoup de gens reconnaissent très bien Stan Rittner dans la rue. Une situation qui le pousse à prendre certaines précautions

“Ça change notre vie réellement. T’as des gens qui viennent te voir. Ta vie change. Tu dois faire attention. Car tu as une image de marque. Tu ne peux plus sortir comme tu le faisais avant l’émission, avec tes potes, quand tu pouvais faire ce que tu voulais en boîte… Là maintenant, quand je sors en soirée avec des amis, je fais toujours attention. Quand il y a des téléphones qui sortent. Tu as toujours tellement de choses qui peuvent aller très vite. C’est hallucinant.”

Aussi, Stan Rittner s’organise pour protéger sa vie privée et celle de ses proches. Sans tomber dans la psychose pour autant. Après tout, il reste un amoureux des pistes de danses et des rythmes endiablés. 

“Je préfère me protéger en amont. Après, tu ne peux pas non plus contrôler tous les gens en soirée. Parce que je ne m’empêche pas de sortir non plus, j’aime beaucoup la musique, je ne veux pas me fermer, m’empêcher de danser. Je fais attention au regard des gens. Dès que je vois un téléphone, je me tourne. Ce sont des petits réflexes.”

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