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À 88 ans, Nana Mouskouri a décidé de se séparer de ses tenues de scène. Le 19 juin prochain, la chanteuse mettra en effet ses vêtements aux enchères, aux profits de la Fondation des Hôpitaux.
À cette occasion, l’octogénaire a accordé une interview à Gala. Au cours de celle-ci, elle a ainsi évoqué de nombreux sujets, dont son combat contre un cancer du pancréas, qu’elle a mené dans l’ombre.
Nana Mouskouri a brisé le silence sur sa maladie
Nana Mouskouri est incontestablement l’une des artistes grecques les plus célèbres au monde. Elle se fait surtout connaître du public grâce à sa coupe de cheveux particulière, mais aussi à ses lunettes à monture noire.
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La native de la Canée, Grèce, a également sorti de nombreuses belles chansons au cours de sa carrière de plus de 50 ans. Parmi celles qui ont connu le succès, on peut citer : Quand tu chantes, Soleil, Soleil ou encore La Paloma.
Aujourd’hui âgée de 88 ans, il faut dire que Nana Mouskouri est une chanteuse affirmée et accomplie, grâce au nombre de disques qu’elle a vendus au fil des ans.
Malgré son succès, il faut tout de même préciser que sa vie n’a pas toujours été un long fleuve tranquille.
Pour information, la chanteuse grecque a lutté contre un cancer du pancréas il y a quelques années. Cependant, elle est restée discrète à ce sujet. Et ce, jusqu’à ce qu’elle ait décidé de se confier là-dessus dans une interview accordée à Gala.
« Je n’ai jamais voulu en parler. C’était en 2015, je revenais d’Australie, j’ai suivi une chimiothérapie qui a duré huit mois », a-t-elle confié. Avant d’expliquer : « Je suis optimiste, je sais qu’il ne faut jamais baisser les armes quand on est malade. Il faut vraiment lutter. »
Elle semble plus sereine aujourd’hui
Au cours de son interview dans les colonnes de Gala, en kiosques ce jeudi 1er juin, Nana Mouskouri a révélé qu’elle a combattu son cancer du pancréas.
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Aujourd’hui, elle mène donc une vie épanouie aux côtés de son mari bien-aimé, André Chapelle.
La chanteuse a d’ailleurs tenu à remercier ce dernier au cours de son entretien, car c’est en partie grâce à lui, si elle est devenue ce qu’elle est aujourd’hui.
« Si je ne l’avais pas eu, je n’aurai pas fait tout ce que j’ai fait. On est toujours amoureux. Quand il est là, je suis bien. J’ai peur de le perdre. Et c’est la même chose pour lui », a-t-elle ainsi déclaré, non sans émotion. Avant de confier : « Je suis très heureuse de l’avoir trouvé. Ou est-ce lui qui m’a trouvée, je ne sais pas… »
Pour la petite histoire, l’artiste grecque a connu son époux depuis 1964. Mais à l’époque, elle était encore mariée à son ex Yorgos Petsilas et n’a donc pas pu entamer une relation avec lui.
En 1975, Nana Mouskouri a cependant fini par divorcer de Yorgos Petsilas. Quelques années plus tard, elle a alors décidé d’épouser André Chapelle. Un épisode dont elle s’est confiée dans son interview.
« On s’est mariés en 2003, face à l’insistance de Jean-Claude Brialy, mon grand ami et témoin. Avec André, on se connaît depuis 1964, il est devenu mon producteur ».
Ses confidences sur son mari André Chapelle
Pour information, ce n’est pas la première fois que Nana Mouskouri se confie sur son mari, André Chapelle, dans une interview.
Pour rappel, en 2011, la chanteuse a aussi déjà parlé de lui dans les colonnes de Paris Match.
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Cette année-là, l’interprète de la chanson Pour mieux t’aimer est revenue sur sa première rencontre avec son ancien producteur.
Elle s’est ensuite confiée sur leur mariage et leur vie en Suisse.
Parlant de sa relation avec André Chapelle, Nana Mouskouri a révélé que son mari l’a beaucoup soutenue dans sa carrière. C’est ainsi grâce à lui, si elle a réussi à trouver sa voix pendant toutes ces années.
« Il me disait de faire attention (…) Et il a tellement fait pour que je reste chanteuse », a-t-elle déclaré.
Notons qu’avec son ancien époux et père de ses deux enfants, Nicolas et Hélène, les choses étaient très différentes.
« Ce fut le seul coup de tonnerre dans ma vie (…) Mon mari voulait que j’arrête le métier (…) Nous avons déménagé en Suisse (…) parce qu’il craignait qu’il y ait à Paris des rivaux qui me tournent autour ! Pas facile d’être M. Mouskouri ! »