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Tout comme de nombreuses stars des années 1970 et 1980, Stone aurait une retraite ridicule. Mais cela ne s’arrête pas là. Apparemment, elle est actuellement privée de tout droit d’auteur pour ses nombreux tubes. Les droits d’auteur seraient limités pour elle. Une situation qui serait en partie de sa faute.
« Mais bon, on fait avec. L’avantage qu’on a, c’est qu’on peut continuer à faire des spectacles, je sors des livres », confie Stone sur C8.
Ces confidences n’ont pas manqué de froisser Christine Bravo. Lorsqu’elle a été invitée sur le même plateau, l’animatrice a fait part de son agacement. L’animatrice remet notamment en question les artistes qui se plaignent de leur retraite modeste, se demandant combien ils ont réellement gagné dans leur carrière.
Elle suppose qu’ils ont accumulé d’importantes sommes, potentiellement non déclarées, lors d’événements mondains.
Stone, démoralisée de sa situation ?
Stone n’a jamais été du genre à mâcher ses mots, et cela n’est pas prêt de changer. Ce samedi 27 mai, la chanteuse était présente sur le plateau de TPMP People, se livrant sur un sujet aussi délicat qu’incontournable : l’argent.
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Interrogé par Bernard Montiel, qui assure désormais la relève de Matthieu Delormeau, Stone a révélé vivre avec une pension de retraite aussi modeste que frustrante. Une « retraite ridicule » d’un peu plus de 1 000 euros mensuels, dit-elle.
Toutefois, loin de s’apitoyer, notre artiste préférée préfère puiser dans l’optimisme et dévoile le bon côté des choses.
« Mais bon, on fait avec, confie-t-elle sur C8. L’avantage qu’on a, c’est qu’on peut continuer à faire des spectacles, je sors des livres, régulièrement, donc je fais beaucoup de salons du livre, de dédicaces, donc c’est aussi une façon de gagner sa vie. Donc voilà, ça se passe bien. »
Stone a continué son explication en faisant référence à son passé aux côtés de Charden. Elle a notamment évoqué le fait qu’ils avaient l’avantage d’avoir investi pendant leur glorieuse époque dans des appartements, une maison… Ainsi, bien qu’elle trouve le montant de sa retraite bien trop modeste, la chanteuse assure d’un ton résolu :
« Moi, je ne me plains pas du tout ! »
Une situation en partie de sa faute
Lors de son passage sur le plateau de Chez Jordan il y a quelques mois, l’ancienne star a expliqué que si sa pension était si dérisoire, elle en était partiellement responsable.
Selon ses dires, dans les années 1970, lors de son ascension fulgurante, elle n’avait pas forcément les mêmes perspectives et préoccupations. Les artistes étaient un brin « insouciants dans leur jeunesse », dit-elle. Apparemment, ils (elle y compris) négligeaient l’aspect financier de leur succès :
« On n’a pas cotisé là où il fallait. Les galas de l’époque n’étaient pas déclarés. On s’en foutait un peu à l’époque, on se disait ‘c’est loin la retraite’. Il ne faut pas compter sur la retraite. »
Christine Bravo agacée des propos de Stone
À l’instar d’autres célébrités des années 1970 et 1980, Stone ne perçoit à présent aucun revenu de droits d’auteur pour ses innombrables tubes. Une situation à laquelle elle avait d’ailleurs apporté plus de précisions au cours d’une interview avec Jordan de Luxe.
« Je suis seulement une interprète, donc mes droits d’auteur sont limités, a-t-elle expliqué. J’ai quelques droits en lien avec l’Adami, mais cela s’arrête là. »
Ses confidences n’ont pas manqué de susciter une réaction mitigée chez Christine Bravo. Lorsqu’elle s’est retrouvée sur le même plateau quelques semaines plus tard, l’animatrice s’est montrée agacée.
« Il y a beaucoup d’artistes qui se plaignent en ce moment de leur maigre retraite. Et je me pose une question : combien ces gens ont gagné au cours de leurs carrières ? » s’est-elle interrogée.
Elle est convaincue qu’ils ont amassé des sommes d’argent considérables, peut-être non déclarées. L’animatrice a déclaré être persuadée que dans les galas et autres soirées mondaines, il y a forcément eu des échanges financiers.
« Il y a eu des échanges d’argent j’en suis sûr », a-t-elle dit.