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Avis aux grands amateurs de télé ! Le jeudi 27 avril 2023, un grand événement aura lieu sur la chaîne C8. Il s’agit bien évidemment du retour de l’une des émissions les plus cultes du PAF, « La Méthode Cauet ». Pour rappel, elle a jadis été diffusée sur la première chaîne pendant 6 saisons, réunissant en moyenne près de 4 millions de téléspectateurs. Célébrant ses 20 ans, l’ancien programme phare de la grille de TF1 fera donc son comeback avec 2 primes. Ainsi, espérons que le public sera au rendez-vous. En tout cas, ce sera une belle occasion de retrouver à l’antenne Sébastien Cauet et son fidèle acolyte, Cécile de Ménibus. D’ailleurs, pour l’occasion, l’animatrice s’est récemment entretenue avec le magazine Gala. Une interview pas vraiment joyeuse.
Cécile de Ménibus se confie sur ses fausses couches
En effet, derrière son joli sourire se cache des blessures profondes. Cécile de Ménibus, qui célébrera ses 53 ans le 9 septembre 2023, a traversé de terribles événements dans sa vie.
À commencer par la disparition de son petit frère. Ce dernier s’en est allé après avoir fait une chute. Il n’avait que 2 ans. En 2015, la mort vient une nouvelle fois frapper à sa porte ; emportant cette fois-ci sa grande sœur qui s’est ôtée la vie. Un drame qui a profondément touché l’animatrice.
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Le 14 mars dernier, sur Instagram, elle lui a notamment rendu un vibrant homme via un post très émouvant. En légende de la photo de la défunte qui lui ressemble énormément, Cécile de Ménibus a écrit :
« Ma fée. J’ai appris que tu nous avais quittés le 14 mars à 17 heures, il y a 8 ans… Ma sœur. »
Comme si le décès de ses proches n’était pas déjà atroce, l’ex-épouse du Rugbyman Yann Delaigue a également rencontré des difficultés dans son désir de maternité. Effectivement, l’animatrice, qui officie dorénavant sur Fun Radio, a plusieurs fois été victime de fausse couche.
Lors de son entretien avec Gala, la jolie blonde, qui est de nature discrète, s’est confiée là-dessus.
« Comme beaucoup de femmes, et c’est bien de le dire, j’ai perdu des enfants, j’ai fait des fausses couches », a-t-elle révélé.
Une tante formidable et inquiète pour sa nièce
D’enfants, l’acolyte de Cauet n’en a malheureusement pas. Néanmoins, malgré cette situation qui lui peine sans doute le cœur, elle reste sereine en s’appuyant sur la foi. Toujours dans les colonnes du magazine Gala, Cécile de Ménibus a ajouté :
« Je suis assez croyante – je ne parle pas de religion – mais je me dis que si je n’en ai pas, c’est que je ne devais pas en avoir. » Et de conclure sur le sujet : « Aujourd’hui, je suis dans cette phase-là. »
Bien que la maternité semble lui avoir tourné le dos, la quinquagénaire est très présente dans l’éducation de sa nièce et filleule, Jade. Et même si cette dernière est dorénavant une adulte, cela n’empêche pas Cécile de Ménibus de s’inquiéter pour elle. L’animatrice a révélé :
« Ce n’est pas ma fille, mais je la traite tout comme et j’ai les angoisses de me dire : ‘Est-ce que je l’ai bien armée là-dessus ? Est-ce que là, si elle fait ça, ça ne va pas être un problème ? »
Dans son discours, la native de Chartres a admis qu’elle trouve courageux que des couples, homos ou hétéros, et des femmes seules, mettent un enfant au monde.
Cécile de Ménibus, très critique sur la société
Dorénavant, il semble que Cécile de Ménibus se soit résignée à ne jamais connaître la maternité. Pourtant, auparavant, elle a songé à l’adoption. En 2014, dans les colonnes de France Dimanche, elle a en effet avoué :
« J’y pense vraiment. Je me dis d’ailleurs que ce serait en plus l’occasion de sortir un enfant d’un milieu difficile et de lui offrir une vraie famille. »
Entretemps, les choses ont changé. Aujourd’hui, l’ancienne chroniqueuse révèle avoir mis ce projet en suspens et elle a ses raisons. Effectivement, Cécile de Ménibus se demande si élever des enfants dans la société actuelle et celle de demain est forcément une excellente idée. La compagne de Thierry, un homme très mystérieux, a notamment déploré le communautarisme.
« J’avais lancé un dossier d’adoption et en fait, ce qui m’a freinée, c’est de me dire : ‘où va-t-on dans cette société ?’ On ne peut plus dire, on ne peut pas faire ça… Tout est hystérisé, même dans le féminisme, il y a des communautés. On oppose les femmes aux hommes. »
Et d’ajouter :
« Déjà que c’est compliqué pour moi, alors que j’ai 50 ans, un peu de bouteille et que je fais partie des grands privilégiés, je me demande si je suis capable d’amener quelqu’un là-dedans. »
Des propos honnêtes venant d’une femme qui a toujours été égale à elle-même.