Fruits & légumes en barquette : 60 millions de consommateurs lance l’alerte sur leur impact

Au-delà de leur impact environnemental douteux, les fruits et légumes en barquette ont d'autres aspects peu reluisants. On vous fait le point

Base de l’alimentation, les fruits et légumes sont littéralement partout. Que vous optiez pour un fast-food ou encore un plat gastronomique, impossible de faire l’impasse. Sauf si vous décidez d’adopter un régime strictement carnivore. Au-delà de son aspect dangereux, votre budget en prendra un sacré coup.

En effet, les fruits et légumes sont malgré tout bien plus abordables qu’une pièce de viande. Qu’ils soient vendus au kilo ou à la pièce, les clients jugent un supermarché à l’allure de ce rayon. D’ailleurs, un nutritionniste conseille de partir de ce postulat afin de faire des économies bien pratiques sur ses courses. Ceci dit, cette partie du magasin polarise malgré tout quelques polémiques. Notamment, puisque certains produits y sont vendus en barquette. Posant quelques soucis d’ordre environnemental. En tout cas, l’association 60 millions de consommateurs s’est penché sur la question.

Fruits & légumes en barquette : où est le problème ?

D’un point de vue strictement environnemental, conserver des fruits et légumes sous plastique alors que disponible en vrac est une aberration. D’autant plus que cela altère leur longévité. À l’heure actuelle, les micro plastiques sont partout. Dans le poisson et même dans l’eau que vous achetez. Autant dire que ne pas acheter de fruits et légumes en barquette contribue à une baisse de ces particules potentiellement mortelles. En outre, lorsque vous achetez en barquette, cela augmente le risque de gaspillage.

Alors qu’en vrac, on ne prend que ce dont on a besoin. Pour conclure, les fruits et légumes en barquette relèvent surtout d’une technique de marketing. Le prix à la pièce étant moins cher que celui au kilo, tout en proposant moins d’un kilo. De ce fait, ce type de conditionnement s’avère bien souvent plus cher que sa version en vrac.

Sources : public.fr

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