Dans les années 1990 et 2000, Beyoncé a connu la notoriété au sein du groupe Destiny’s Child. Avec ses camarades, elle a fait ses preuves sur des hits comme Say my name, Survivor ou encore Girl. Avec le temps, elle a réussi à s’affirmer, jusqu’à se lancer en solo. Depuis, elle a fini par devenir une star à l’échelle planétaire. À présent, elle a 8 albums à son actif. Dont, Cowboy Carter, qui a connu un succès phénoménal ces derniers mois, porté par le single Texas Hold’Em. Un titre bien trouvé quand on sait que la belle a vu le jour en 1981 à Houston.
En couple avec le producteur et rappeur Jay-Z depuis 2001, elle a eu 3 enfants avec lui. Blue Ivy, Sir Carter et Rumi Carter. Mais la maternité n’a rien changé à la carrière de Beyoncé. Elle reste l’une des artistes féminines les plus suivies à notre époque. À tel point que ses chansons captivent les hommes politiques. Cela dit, alors que la campagne présidentielle bat son plein aux États-Unis, la vedette entend bien garder le contrôle sur sa discographie. Hors de question que Donald Trump puisse utiliser sa voix pour se faire réélire. On fait le point !
Beyoncé a rapidement obtenu gain de cause
Que vous soyez féru de politique ou non, vous savez sans doute ce qui se trame à la Maison-Blanche. Il ey a maintenant plusieurs semaines, Joe Biden a jeté l’éponge : il ne se présentera pas aux prochaines élections présidentielles. Il préfère passer la main à sa Vice-présidente, Kamala Harris. Cette dernière a d’ailleurs reçu le soutien des démocrates. Notamment Michelle et Barack Obama. Ainsi que George Clooney. Or, Beyoncé n’échappe pas à cette ferveur. Ainsi, depuis que Kamala Harris s’est lancée dans la course pour la présidence, la chanteuse a accepté qu’elle utilise son morceau Freedom, comme une sorte d’hymne, de façon non officielle.
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Or, pour ce qui est du candidat républicain, Donald Trump, elle n’a pas tout à fait le même avis. Dernièrement, Steven Cheung, un porte-parole de l’ancien président, a, lui aussi, utilisé la chanson Freedom. Et ce, afin d’illustrer un clip de campagne, pendant quelques secondes. Or, Beyoncé n’a reçu aucune demande d’autorisation pour que le parti de droite exploite son morceau. Mécontente, elle a pris contact avec Donald Trump, par l’intermédiaire de son équipe. D’après le magazine Rolling Stones, la star du RnB a fait savoir qu’elle n’hésiterait pas à lancer une mise en demeure contre le politicien. Peu de temps après, les républicains ont supprimé la vidéo mise en cause…