L’affaire Justin Timberlake a provoqué une sacrée polémique sur X (Twitter). En effet, le chanteur a été épinglé pour conduite en état d’ivresse. Le regard vitreux et les yeux injectés de sang selon le policier qui l’a arrêté, ses détracteurs en ont profité pour rigoler à gorge déployée. Si vous n’êtes pas au courant, Justin Timberlake a subi de nombreux revers depuis le mouvement Me Too. L’objet du délit ? Son manque de considération envers les femmes.
Bien qu’il n’ait pas fait l’objet d’allégations d’agression sexuelle, ce dernier n’a pas hésité à traîner dans la boue le nom de sa compagne de l’époque, Britney Spears. Allant jusqu’à la forcer à avorter. Dans un autre cas de figure, en pleine tourmente à cause du bad buzz du Superbowl, Justin Timberlake a brillé par son absence alors que sa co-star Janet Jackson a subi de plein fouet la cancel culture et la misogynie. Aujourd’hui, la carrière Justin Timberlake est en berne. Encore plus suite à sa dernière frasque. Cela dit, son avocat est monté au créneau pour le défendre. On vous dit tout.
L’avocat de Justin Timberlake monte au créneau
Selon le policier qui s’est chargé de contrôler le chanteur, son état ne faisait aucun doute. Ainsi, il a déclaré à propos de Justin Timberlake ce soir-là :
« une forte odeur de boisson alcoolisée émanait de son haleine »
Une prise de parole qui semble aller dans le sens où le chanteur aurait refusé le test d’alcoolémie. Autant que ces deux faits apparents jouent contre sa défense. En outre, le journal US Weekly explique :
« Il a eu un premier chef d’accusation contre lui car il a refusé de se soumettre à l’éthylotest. Monsieur Timberlake a également deux autres chefs d’accusation contre lui, car il ne s’est pas arrêté à un stop et ne circulait pas dans la bonne voie de circulation »
Cela dit, l’avocat de l’interprète de Cry Me A River, a indiqué une tout autre version des faits lors de l’audience. Selon lui la :
« police avait fait un nombre d’erreurs très importantes. Justin n’était pas ivre et n’aurait pas dû être interpellé »
Toutefois, cela vient en contradiction avec les aveux du chanteur fait au moment des faits. Effectivement, le procureur de l’affaire à lui même déclaré que Justin Timberlake avait :
« reconnu les faits »