4 jours avant les élections qui changeront à jamais la face de la France, les célébrités se mobilisent. Que ce soit Aya Nakamura, ou encore Léna Situations, elles brisent le silence. En effet, la situation politique actuelle cristallise toutes les tensions. Le RN est taxé de racisme et d’antisémitisme, de misogynie. Quand le nouveau front populaire, lui, est accusé de faire monter le communautarisme. Dans cette bataille médiatique, le silence n’est pas permis. Et cela, Laura Smet l’a bien compris.
La fille du taulier, plutôt discrète sur sa vie privée, a pris la parole sur Instagram ce 3 juillet. Aujourd’hui, les célébrités n’ont pas d’autres choix que se positionner. Au risque de subir les foudres du Block Out. En effet, en filigrane se dessine aussi le spectre du conflit au Moyen-Orient. Cela dit, Laura Smet a décidé de mettre en lumière d’autres conséquences de la montée en puissance du RN. On vous explique.
Laura Smet met la lumière sur le monde du spectacle
Fille d’artistes, Laura Smet poursuit sa carrière avec brio. Bien qu’elle ait largement pâti de la tourmente médiatique autour de l’héritage de son père, l’actrice poursuit son chemin. D’ailleurs, c’est cet amour du métier et de l’industrie qui l’ont poussé à prendre la parole. Effectivement, en story Instagram, la fille du taulier a expliqué :
« Si le RN passe : plus d’intermittence. Ça veut dire que tous les films et les festivals que vous aimez tant disparaîtront progressivement. Soyez-en certains, ils l’ont clairement annoncé. Sachez que tous les artistes et techniciens que je connais, sans exception, travaillent comme des acharnés sans un jour d’arrêt-maladie, sans compter leurs heures et dans la majorité des cas, pour des salaires de misère. Tout ça dans l’unique but de vous offrir les meilleurs films possibles, les plus beaux disques, les concerts les plus fous, les livres et les œuvres qui vous constitueront. »
Finalement, c’est le patrimoine culturel si cher aux français qui finira par disparaître… On ne compte plus les périphrases mettant en lumière Victor Hugo ou encore Alexandre Dumas pour parler de la France. Selon ses propos, leurs héritiers risquent de ne plus pouvoir sustenter à leurs besoins. Menant à terme à la production artistique et de réflexion. Une situation qui semble tout bonnement intolérable pour Laura Smet.