Éric Naulleau enterre Christine Angot : « Nullité littéraire quasiment totale »

Il n'a jamais eu la langue dans sa poche à l'antenne. Éric Naulleau l'a une nouvelle fois prouvé sur le plateau de C8...

© C8

Personnalité polarisante, Éric Naulleau suscite l’interrogation parmi les siens. En effet, le critique littéraire aime se revendiquer de gauche. Toutefois, ses prises de paroles et ses amis médiatiques, dont Éric Zemmour, puisent leur essence dans l’extrême droite française. Ceci étant, Éric Naulleau cultive son amitié avec l’animateur Yves Calvi. Dont les idées divergent des siennes. L’ancien chroniqueur de On n’est pas couché a toujours eu le chic de provoquer la polémique. Et ce à chacune de ses prises de paroles.

D’ailleurs, c’est l’une des raisons pour lesquelles Laurent Ruquier avait décidé à l’époque de lui proposer un siège dans son émission. Son nouveau pamphlet à propos de Jean-Luc Mélenchon lui a permis de se retrouver sur le plateau de Jordan De Luxe ce 30 mai. Éric Naulleau le sait, ses critiques font vendre. Les téléspectateurs aiment se délecter du drama. Et à ce petit jeu, l’ancien chroniqueur a su donner de sa personne avec Jordan De Luxe. On vous explique.

Éric Naulleau n’est pas tendre avec Christine Angot

C’est avec un euphémisme non dissimulé qu’Éric Naulleau s’en est quelque peu pris à la romancière Christine Angot. Au micro de Jordan De Luxe, il explique que cette dernière surferait sur son statut de victime pour percer. En effet, la dramaturge a révélé publiquement avoir fait l’objet d’un inceste durant sa jeunesse. Des propos choquants, quand on connaît les dommages psychologiques des personnes ayant ce type de traumatismes. À propos de ses œuvres, Éric Naulleau affirme qu’il s’agit d’une :

« Nullité littéraire quasiment totale »

Et que ces dernières trouvent grâce qu’auprès d’un certain milieu médiatique. Bien entendu, Éric Naulleau n’a pas manqué d’avoir écrit un pamphlet sur la romancière. Face à toutes ses critiques, Jordan De Luxe, qu’on connaît taquin, n’a pas hésité à demander s’il n’y avait pas finalement un brin d’envie derrière ce déferlement…

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