Jean Reno, de son vrai nom Juan Moreno y Herrera-Jiménez, est un acteur français. Celui-ci a vu le jour le 30 juillet 1948 à Casablanca.
Le comédien a commencé sa carrière au théâtre et au cinéma en France dans les années 1970. D’ailleurs, son premier grand rôle fut dans Le Grand Bleu de Luc Besson en 1988. Sa performance lui a valu une nomination au César du meilleur acteur dans un second rôle. En outre, cela a signifié le début d’une carrière brillante.
Par la suite, Jean Reno a enchaîné les succès avec des films comme Nikita, Godzilla ou encore le Da Vinci Code. Polyvalent, l’acteur s’est aussi illustré dans la comédie. Notamment aux côtés de Christian Clavier dans le mythique Les Visiteurs. Aujourd’hui, le comédien s’est lancé dans l’écriture. En effet, Emma narre l’histoire à mi-chemin entre amour et espionnage. Dans le but d’assurer la promotion de sa nouvelle œuvre, Jean Reno multiplie les interviews. Et n’y hésite pas à se confier. On vous dit tout.
Jean Reno livre son hymne à la femme
Pour Jean Reno, ce livre revêt une importance toute particulière. En effet, l’acteur a expliqué auprès du Parisien ce 19 mai avoir toujours eu une appétence pour la lecture. Il explique :
« Les livres ont toujours été importants dans ma vie. Et puis il y a eu le Covid… J’étais en famille aux Baux-de-Provence, je me souviens de ce silence, de la nature qui reprend ses droits. Je me suis retrouvé sans projet, et pour un acteur, c’est effrayant car cela signifie qu’il n’existe pas ».
Grâce à ce nouvel ouvrage, l’acteur a pu se sentir exister à nouveau. Le processus de création ayant réussi à lui redonner le goût de la vie. Le choix d’une héroïne ne se trouve pas anodin. De ce fait, il indique que les femmes ont toujours eu un impact considérable dans sa vie :
« À commencer par ma mère, elles sont tout pour moi, sans elles, je ne serais pas où je suis. Elles m’ont beaucoup aidé à vivre, à changer de statut social. Quand je suis arrivé à Paris, j’avais 100 francs en poche, et elles m’ont nourri, logé, donné l’amour ».
Cela dit, Jean Reno a concentré son propos sur celle avec laquelle il partage sa vie actuellement, à savoir Zofia Borucka :
« Et il y a Zofia, mon épouse, la mère de mes deux derniers garçons. C’est la femme de ma mort, pour reprendre une expression de Nougaro, c’est avec elle que je finirai ma vie. »
L’homme de 75 ans semble aujourd’hui comblé et cela fait plaisir à voir.
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