Alain Turban s’exprime sur sa retraite : « J’ai fait le con dans ma vie »

Alain Turban a marqué son temps, notamment avec son tube Santa Monica. Mais son parcours de vie l'empêche de toucher une retraite à l'image de sa carrière musicale.

La carrière, voire la vie d’Alain Turban, s’avère riche en péripéties. Fils de forain, il grandit à Montmartre. Là-bas, il y côtoie celui qui deviendra le célèbre Pierre Billon. Dans un premier temps, imprimeur puis vendeur sur les places des marchés, il part en Ardèche. C’est aux commandes d’une discothèque qu’il fera ses premières armes dans la musique. De retour à Paris comme chauffeur de taxis, il balade les plus grandes célébrités de son temps. En outre, Alain Turban déborde d’anecdotes avec Johnny Hallyday ou encore Serge Gainsbourg. Il connaît enfin la notoriété avec Les rendez-vous du dimanche présenté par Michel Drucker. Aussi, s’ensuit le tube qui changera sa vie : Santa Monica en 1978. Auteur-compositeur-interprète, Alain Turban continue d’être actif dans le milieu musical. Le chanteur a également eu une vie conjugale bien remplie. Cependant, à l’heure de la retraite, ça a été la douche froide On vous explique.

Alain Turban dévoile le montant de sa retraite

Chanteur à succès, on pourrait penser qu’il jouit d’une pension confortable. Or, il n’en est rien. En effet, il a confié auprès de Jordan De Luxe toucher 1300 euros. À cela s’ajoutent les droits de ses chansons, qui s’élèvent à 300 euros par mois d’après ses dires. D’ailleurs, il a balancé le montant que Patrick Hernandez toucherait avec son fameux Born To Be Alive. Et cette somme avoisinerait les 1000 euros par jour. Autant dire que son ami joue dans une tout autre catégorie. Malgré tout, Alain Turban a déclaré Chez Jordan avoir réussi sa vie. Cela dit, face à la surprise de Jordan De Luxe quant au montant de sa retraite, il indique :

« J’ai fait le con dans ma vie »

Alain Turban explique que ses emplois en tant que gérant de discothèque et sur les marchés n’ont pas été déclarés. Ces emplois sur plusieurs années lui ont créé un sacré manque à gagner.

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