Il y a encore 4 ou 5, personne ne connaissait cette jeune femme blonde et sa tribu. Mais sa vie a changé lorsqu’elle a décidé de participer à Familles Nombreuses, avec les siens. Amandine Pellissard, son mari et leurs 8 enfants ont alors eu l’occasion d’apparaître sur TF1, dans plusieurs épisodes du docu réalité. Même s’ils ne tournent plus pour cette émission, ils ont toujours un grand nombre d’abonnés sur les réseaux sociaux. Aussi, celle qui vient d’accoucher de son 9ᵉ bébé, donne souvent de ses nouvelles aux internautes. Mais elle sait aussi utiliser sa visibilité en ligne pour dénoncer les problèmes qu’elle rencontre au quotidien, comme tous les parents. Cette fois-ci, elle semble à bout de nerf. En cause : le car qui emmène chaque Alina, Louna et Adam à l’école élémentaire chaque jour. On vous explique tout !

Amandine Pellissard dénonce un véritable casse-tête

Qu’on aime l’ancienne candidate de Familles Nombreuses, ou non, il faut reconnaître qu’elle a un planning plutôt chargé ces derniers temps. En effet, sa cadette, Maéna, a vu le jour en août, avec trois mois d’avance. Grande prématurée, elle est toujours prise en charge dans un service néonatalogie, près de 12 semaines après sa naissance. Dans ce contexte, Amandine Pellissard passe désormais beaucoup de temps à l’hôpital, en chambre individuelle avec son bébé. Mais au cours d’une pause cigarette, ce 6 novembre 2023, l’épouse d’Alexandre a dégainé son téléphone, pour faire une story.

« Coucou ! Bon, là, story coup de gueule. J’en ai ras-le-bol… »

Elle a ainsi expliqué, face caméra, avoir fait toutes les démarches nécessaires pour permettre à ses enfants d’aller à l’école avec le car scolaire de sa commune. Pour rappel, la famille a emménagé cet été, en périphérie de Montpellier. Malheureusement, à ce jour, Adam, Alina et Louna n’ont toujours pas obtenu leur carte de transport. Or, ce titre, bien que gratuit, reste obligatoire pour voyager dans le bus réservé aux écoliers. Mais ce matin, leur grand frère a appris une mauvaise nouvelle, en discutant avec le chauffeur.

« Léo les a accompagnés à la navette. Et là, on dit à Léo : ‘ Demain s’ils n’ont pas leur carte, ils ne montent pas’. »

Cette nouvelle a beaucoup inquiété Amandine Pellissard. Elle a donc décidé de joindre la société Hérault transport, qui assure ce service au sein de la municipalité. Et la réponse que l’opératrice lui a donnée au téléphone ne l’a pas du tout rassuré.

« La personne me dit ‘Ah mais on ne vous a pas prévenu ? (…) Comme les demandes ont été faites à la rentrée, et que vous n’avez toujours pas les cartes, c’est sûrement parce qu’il n’y a plus de place. Donc vos enfants ne pourront pas bénéficier du transport. »

Le franc-parler d’Amandine Pellissard

Très remontée, la jeune maman a fait remarquer qu’il restait ses places, étant donné que ses enfants avaient toujours trouvé un endroit où s’asseoir dans le bus. Mais son interlocutrice lui a fait savoir que d’autres parents avaient sans doute inscrit leurs enfants avant elle, sans pour autant les envoyer à la navette chaque jour. Tout en lui conseillant simplement d’envoyer un email à la mairie. Une démarche qu’Amandine Pellissard estime inutile, qui espérait avoir l’appui de l’entreprise qui transporte les écoliers.

Selon la femme d’Alexandre, ce problème vient de l’expansion rapide de la commune ces dernières années. Le nombre de familles et d’élèves domiciliés dans le département explose.

« Il y a p*tain de problème… Au niveau de temps, des infrastructures, des transports scolaires… Y a que des problèmes ici. (…) De toute façon, tout le monde vient habiter là. Comme des moutons. Nous les premiers d’ailleurs. Boum là le troupeau. Allez, le Sud, le soleil, la mer… Pis après on est emmerdé pour tout… (…) Mes enfants n’ont plus de trasport scolaire ! »