Ce pain surgelé fait l’objet d’un rappel à travers tout le pays, ne le consommez surtout pas

Vous avez récemment acheté du pain surgelé ? Dans ce cas, vous devez tenir compte de cette procédure qui a commencé vendredi dernier !

En France, la baguette est une véritable institution. Forcément, elle a toujours plus de goût quand elle sort du four. Ce qui n’empêche pas les consommateurs de se tourner vers du pain surgelé de temps à autre. En effet, on n’a pas toujours le temps d’aller chez le boulanger chaque jour. De ce fait, avoir un peu de stock au congélateur peut toujours rendre service au quotidien.

Dans le commerce, on trouve toutes sortes de pains surgelés. Certains s’avèrent parfaits pour faire des sandwiches ou des paninis. D’autres, correspondent à des recettes plus exotiques. Qu’importe la variante, le risque zéro n’existe pas. Voilà pourquoi la marque Annam a publié une fiche d’information via Rappel Conso le 25 octobre dernier.

Pain surgelé : quelle référence est concernée ?

Outre les pains de seigle et les baguettes, il existe de nombreux types de pains. Chaque pays ou presque a sa recette. Ainsi, les italiens ont un faible pour les ciabattas et les focaccias. Or, en Inde et au Sri Lanka, les habitants consomment des pains plats, similaires à des crêpes. Et naturellement, il est possible de s’en procurer dans l’hexagone, dans certains magasins.

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  • Le rappel touche les pains surgelés, type « Malabar Parotta« , vendus en sachets par la marque Annam.
  • Les lots visés par la procédure portent le n°AM24/002F, avec une DLC fixée au 30 juin 2026.
  • Vous avez pu trouver ce produit dans de nombreux commerces jusqu’au 24 octobre dernier.

Mais alors pourquoi ces pains indiens surgelés font l’objet d’un rappel ? Des analyses ont révélé qu’ils avaient une teneur en 3-MCPD et en esters d’acides gras de glycidol au-delà des seuils réglementaires. De ce fait, les consommateurs risquent une contamination chimique. Si vous avez encore ce produit dans votre congélateur, ne le mangez pas ! Pour l’instant, aucun remboursement n’est proposé. Le mieux est donc de détruire cet aliment.

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