Arrêt maladie et sorties : ce que vous devez savoir pour éviter les ennuis

Les arrêts maladies obéissent à des règles, qu'il convient de connaître pour éviter tout problème avec la Sécurité sociale.

Les arrêts maladie font partie des mesures dans le viseur du gouvernement. Ils représentent un sacré manque à gagner pour la Sécurité sociale. En effet, la Cnam entend bien rendre visible les personnes ayant un arrêt dit long. Ce qui concernerait plus de 30 000 personnes en France. Cela dit, cet absentéisme fait souvent face à des réalités d’entreprise bien réelles. Entre absence d’effectifs, manque de considération sur son travail… Moult sont les raisons de poser un arrêt maladie. De leur côté, les médecins, de par leur métier, tendent à croire au mal-être de leurs patients. Toutefois, les entreprises disposent de certains recours pour vérifier le bien-être de leurs salariés. On vous fait le point.

Arrêt maladie : Quid des sorties ?

D’après TF1, le nombre d’arrêts maladie de complaisance aurait augmenté de 30% entre 2012 et 2023. Leur nombre passant à plus de 8 millions l’année précédente. Une situation qui crée de véritables situations de crise au sein des entreprises. En effet, les arrêts ont tendance à appeler les arrêts d’autres employés. Ainsi, les entreprises peuvent faire appel à la Sécurité sociale pour vérifier votre présence chez vous. De même, la Sécurité sociale peut d’elle-même décider de faire un contrôle. Fort heureusement, il existe des heures où les sorties sont autorisées. Mais, il reste théoriquement impossible de pouvoir partir une journée complète. En effet, voici les différentes plages horaires de contrôle possible :

  • de 9 heures à 11 heures
  • de 14 heures à 16 heures

Le tout 7j sur 7, jours fériés compris. Bien entendu, rentre en considération les prescriptions du médecin pour votre arrêt maladie. Effectivement, ce dernier peut stipuler une possibilité totale de sortie… Comme l’inverse ! En cas d’excès de zèle, et si vous vous faites attraper la main dans le sac, la Sécurité sociale peut vous donner une pénalité. Voire suspendre les indemnités journalières. De son côté, l’entreprise pourra, elle aussi, couper l’apport des indemnités complémentaires.

Sources : tf1info.fr

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