Septembre rime souvent rentrée ou encore retour à la grisaille. Cela dit, l’été indien n’est jamais très loin et il reste toujours possible d’aller le chercher où qu’il soit. Les températures encore douces, et la rentrée scolaire étant déjà passée, les vacances en septembre s’avèrent parfois moins chères que leurs homologues juillet et août. D’ailleurs, d’après Opinionway, cette période de l’année se réserve majoritaire à :
« une clientèle soit retraitée, soit des couples sans enfants ou avec des enfants en bas âges, non scolarisés »
Une manière pour eux d’éviter la cohue des vacances scolaires. Mais aussi de réaliser de bonnes affaires. En outre, Rodolphe Brenier d’Opinionway, un organisme de sondage, indique que les prix pour des vacances en septembre sont moins chers. Avec une demande en baisse, les prix ne font que suivre. Mais où partir en cette saison ? On vous fait le point.
Vacances en septembre, un portefeuille épargné
D’après l’organisme Ipsos, 60% des Français préfèrent rester en France pour leurs vacances… Et on les comprend. Pas de problème de langue, ni d’échange de monnaie. Et surtout, la France regorge de paysages et de patrimoine à couper le souffle. Par ailleurs, si vous craignez le retour de la fraîcheur, le sud de la France vous offrira cet été indien dont vous rêvez tant. Le tout avec la possibilité de partir en train pour un transport écolo et rentable. Un trajet Paris-Marseille en train Ouigo peut coûter 50 euros aller-retour.
Pour les plus aventureux, vous pouvez opter de quitter la France pour vos vacances. Et pour ce faire, la meilleure destination en termes de rapport qualité prix reste le Portugal. Sur les sites Kayak ou Liligo, vous pouvez trouver des allers-retour pour 105€ en cette saison. De manière générale, les pays autour de la méditerranée offrent de bons tarifs. Le Maroc ou encore la Tunisie s’offrent à vous pour environ 150 euros. Pour les plus courageux, l’Europe du Nord, en car, se fait pour une vingtaine d’euros. Mais il faut supporter, le confort spartiate du car le temps de trajet… Et surtout le froid polaire à l’arrivée.