Depuis quelque temps, le petit écran se réinvente à vitesse grand V. Dès février 2025, C8 et NRJ12 perdront leur fréquence TNT. Et sur les chaînes qui gardent leurs places, il y a aussi beaucoup de remue-ménage. Ainsi, après 3 ans à la tête de Télématin, Thomas Sotto a fait ses adieux au public. Son remplaçant ? Julien Arnaud. Qui jusqu’ici travaillait, tout comme Anne-Claire Coudray, sur France 2. Lors de sa rentrée sur TF1, le journaliste fera équipe avec Flavie Flament.
Forcément, ses anciens collègues le regretteront. Après tout, Julien Arnaud avait rejoint la première chaîne en 2006. En plus de 15 ans, il a largement eu le temps de nouer des complicités avec les membres de l’équipe. Voilà pourquoi, celle qui présente le JT tous les week-ends depuis 2015 le regrettera. Anne-Claire Coudray a largement eu l’occasion de le voir travailler. Ainsi, elle sait qu’en rejoignant la chaîne concurrente, il réussira forcément à lui faire un peu d’ombre…
Anne-Claire Coudray commente la décision de Julien Arnaud
Depuis 9 ans, elle fait partie des journalistes les plus en vue sur TF1. Aux côtés de Gilles Bouleau, elle a même eu l’occasion de couvrir les soirées électorales ou encore d’animer des débats politiques, comme Élysée 2017. Pétrie d’ambition, mais aussi d’expérience, Anne-Claire Coudray devine très bien ce qui a poussé Julien Arnaud à prendre son envol.
« Dans ce métier, forcément, on est chassé et on a envie d’évoluer. Il l’a dit très clairement. On a été surpris sur le coup et après on a trouvé ça logique. Ils ont raison de l’avoir recruté, je lui ai envoyé un petit message. On l’a tous félicité à TF1. », a expliqué la présentatrice dans les colonnes de Télé-Loisirs.
Selon elle, il n’a pas eu tort de chercher son bonheur du côté de France 2. Il s’agit plutôt d’un beau tremplin pour son parcours professionnel.
« Comment empêcher quelqu’un d’évoluer ? Il est joker sur TF1, il part pour un poste de titulaire, personne ne peut lui en vouloir. »
Si elle salue l’initiative de Julien Arnaud, Anne-Claire Coudray voit tout de même en lui un potentiel rival.
« Ce que je lui ai dit, c’est que j’espère que je ne vais pas le retrouver en joker face à moi. »