JK Rowling s’en prend une nouvelle fois à Imane Khelif : « hyper-féminisante pour distraire »

JK Rowling n'en est pas à son premier coup d'essai sur la médaillée olympique. On vous dit tout.

Si vous êtes familier avec la saga Harry Potter, le nom de JK Rowling doit forcément vous dire quelque chose… En effet, il s’agit de l’autrice qui se trouve derrière la saga aux millions d’exemplaires vendus. Attendu comme le Messie durant des années durant, chacun des tomes produisait une véritable ruée dans les magasins spécialisés. Cela dit, la réputation de l’autrice s’est retrouvée entachée par plusieurs polémiques ces dernières années. En effet, JK Rowling reste tristement connue pour ses prises de positions transphobes. D’ailleurs, celle-ci avait déclaré dans le journal The Times :

« le mouvement socio-politique insistant sur le fait que ‘les femmes trans sont des femmes’ n’était ni bienveillant ni tolérant, mais en réalité profondément misogyne, régressif, dangereux dans ses objectifs et autoritaire dans ses tactiques ».

Compte tenu de son opinion sans équivoque, il devient évident qu’elle n’a pas pu se retenir de commenter la polémique autour d’Imane Khelif. En effet, la boxeuse algérienne a fait l’objet d’une campagne de décrédibilisation autour de son genre. Atteinte d’hyperandrogénie qui justifierait un genre masculin, l’autrice avait twitté à ce sujet :

« Une image pourrait-elle mieux résumer notre nouveau mouvement de défense des droits de l’homme ? Le sourire narquois d’un homme qui se sait protégé par un règlement sportif misogyne, jouissant de la détresse d’une femme qu’il vient de frapper à la tête, et dont il vient de briser l’ambition d’une vie. #Paris 2024 »

Propos supprimés depuis, face à la plainte de l’athlète après sa victoire.

En revanche, JK Rowling a décidé de continuer son combat de manière plus implicite. On vous explique.

JK Rowling toujours autant problématique

Cette fois-ci, la romancière a opté pour un changement de tactique. C’est encore une fois sur Twitter que JK Rowling a décidé de faire fi de la plainte qui la place déjà au cœur du cyberharcèlement. Ainsi, celle-ci a partagé le titre d’un article au nom plutôt évocateur. Il y est mentionné :

« Imane Khelif lance une campagne de relations publiques hyper-féminisante pour distraire. »

Pour accompagner le tweet, elle a également pris une citation de l’article qui indique :

« Il est important de souligner que lancer une campagne de relations publiques et appliquer des couches épaisses de maquillage nécessite beaucoup plus de temps et d’efforts que de simplement rendre publics les résultats d’un test ADN. »

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Évidemment, le tweet a été vu plus de 15 millions de fois, a attiré beaucoup de réactions dont :

« Née femme. Élevée en femme. Entraînée en tant que femme. A participé à des compétitions en tant que femme pendant plusieurs années sans problème Vous inventez un récit et refusez d’en changer, c’est pourquoi vous avez été si vertement moqué ces dernières semaines et pourquoi vos avocats seront très occupés dans les mois à venir. » Peut-on lire sur X.

Ou encore :

« Oui ! Montre-nous les chromosomes, pas la perruque et le rouge à lèvres » Déclare un internaute.

Quoi qu’il en soit, la transphobie n’est pas une opinion, mais un délit.

Sources : francetvinfo.fr

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