Johnny Hallyday, son affaire de viol refait surface avec le regard actuel : « entendue différemment par le public »

Celle-ci qui avait osé porter une accusation de viol envers le taulier au milieu des années 2000 a décidé de revenir sur cette affaire auprès de la Tribune du Dimanche. Depuis, MeToo et Judith Godrèche sont passés par là…

Plus les années avancent, plus la désillusion est grande. En effet, il n’y a pas un jour où une affaire scabreuse impliquant une célébrité masculine ne soit pas mise en lumière. De Gérard Depardieu en passant par l’Abbé Pierre, la liste est longue. Sur cette dernière, Johnny Hallyday a aussi vu son nom éclaboussé.

Pour ceux qui n’auraient pas suivi l’affaire, Marie-Christine Vo avait accusé le chanteur de viol en 2003. Celle qui travaillait à l’époque sur un yacht, avait été engagée par le couple Hallyday pour s’occuper de l’accueil des passagers, du ménage et des courses. Toutefois, un soir, tout aurait basculé. Johnny Hallyday, en état d’ébriété, l’aurait frappé, puis violé dans sa chambre. Une affaire sordide, qui a largement choqué l’opinion publique. Cette affaire ne trouve sa conclusion qu’en 2006. La justice tranchant sur un non-lieu par manque de preuves. Même si Marie-Christine Vo avait fait constater des blessures par un médecin quelques jours après son agression. Presque 20 ans plus tard, le journal La Tribune du dimanche a décidé de redonner la parole à Marie-Christine Vo. On vous dit tout.

Johnny Hallyday : Une époque qui a joué en sa faveur ?

En matière d’agression sexuelle, il a eu un avant et un après MeToo. En effet, à l’ère du tribunal des réseaux sociaux, les médias ne souhaitent plus se mouiller. De peur de perdre leur audience. Ainsi, dans l’affaire Cauet, NRJ a directement décidé de se séparer de son animateur phare. En revanche, en 2003, c’était une autre paire de manches. D’ailleurs, celle qui a accusé Johnny Hallyday indique qu’elle aurait été à l’heure actuelle :

« entendue différemment par le public et les médias »

Tout en ajoutant :

« L’issue aurait sans doute été la même. Mais je n’aurais pas été montrée du doigt. À l’époque, tout était à charge contre moi. »

D’après le site du gouvernement, seules 6% des femmes portent plaintes en cas d’agression. Puis, faut-il assumer le poids de ses accusations quand votre parole est remise en question. D’autant plus, dans une affaire où l’une des parties était une star à la popularité incroyable. À l’heure actuelle, Marie-Christine Vo déclare :

« Je ne me bats pas contre les morts »

Une jolie marque de respect pour la mémoire du chanteur.

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Sources : voici.fr

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