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C’est une décision prise à contrecœur ! Michel Drucker avait fait le nécessaire pour être en pleine forme durant les Jeux Olympiques de Paris 2024. Et pour cause ! L’animateur de 81 ans devait co-animer avec Léa Salamé Quels jeux !, un talk-show entièrement dédié à cet événement mondial. Malheureusement, à cause de son état de santé actuel, l’animateur doit renoncer à ce projet.
« J’ai eu tellement peur »
Selon les informations recueillies par nos confrères du Parisien, ses médecins lui ont formellement interdit de participer à ce talk-show. Ces derniers lui ont imposé un repos nécessaire et une « obligation d’être au lit à 23 heures ».
Visiblement, cette situation a beaucoup déçu Michel Drucker. L’animateur qui avait fait ses débuts télévisuels lors des Jeux Olympiques de Tokyo en 1964 voulait marquer le coup cette année. Toutefois, conscient de l’importance de préserver sa santé, il entend bien suivre les recommandations médicales.
« Ma priorité, c’est ma santé. Je ne peux pas plaisanter avec elle. J’ai eu tellement peur de ne pas revenir », a-t-il déclaré.
Qui pour remplacer Michel Drucker ?
En dépit de cette contrainte, l’animateur culte de Vivement dimanche n’a pas caché son désir de faire une apparition symbolique lors de la première du talk-show.
« Je vais essayer de voir si je ne peux pas passer une tête pour la première. Ça serait un beau symbole, étant le dernier rescapé des Jeux Olympiques de Tokyo il y a soixante ans », a-t-il confié au Parisien.
En attendant, son remplaçant pour animer cette deuxième partie de soirée aux côtés de Léa Salamé a déjà été trouvé. Apparemment, c’est Laurent Luyat qui prendra sa relève dans Quels jeux !.
« Ce serait une bonne idée. Il est légitime et ferait un bon duo avec Léa Salamé », a estimé Michel Drucker.
Pour rappel, le talk-show sera diffusé à partir du 26 juillet au 11 août sur France 2. Michel Drucker, quant à lui, se concentre déjà sur d’autres projets, notamment la préparation de la prochaine fête des Mères. Comme il l’a laissé entendre lors d’un entretien accordé à Ouest-France :
« je n’ai pas l’intention de m’arrêter là. »